1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’infirmière (1/1)


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... l’hôpital.
    
    Si je tente de vous soigner, je deviens complice et je risque au minimum de perdre mon autorisation d’exercer.
    
    Ça c’est un minimum, je risque comme vous de faire de la prison.
    
    Je sors une liasse de billets que j’ouvre devant elle de dessous mon oreiller.
    
    - 1 000 €, j’ai tout ce qu’il faut pour que vous me soigniez.
    
    Tout le monde ignorera que c’est vous qui m’avez réparé.
    
    - Vous êtes gentil, 1 000 € c’est à peu près ce que je dégage comme salaire, chaque mois.
    
    Pourquoi voulez-vous que je prenne des risques pour doubler le salaire d’un mois.
    
    - Ok, voilà 2 000 € et vous aurez le double quand vous m’aurez remis en état.
    
    Vous avez la garantie que si ma parole était creuse, vous pourriez déposer mon adresse dans une lettre anonyme à la police qui aura facile à m’arrêter.
    
    Je vois que j’ai gagné quand elle met mes billets dans sa petite valise d’infirmière, elle sort une paire de gants en latex.
    
    - Regardez dans cette armoire, vous trouverez tout ce dont vous aurez besoin.
    
    J’ai besoin de vous pour le trou derrière mon dos, devant je pouvais me recoudre moi-même et je suis sûr que vos jolies mains de femmes vont me faire de jolies boutonnières.
    
    Elle me recoud avec une anesthésie locale qui fait partie de ce que Paulo m’a vendu.
    
    J’avais raison, je vois les trois points qu’elle m’a faits devant, comme une bonne couturière elle a fait un travail très soigné.
    
    Pour cela, elle se penche me montrant sa paire de mappemondes que je ...
    ... vois dans son décolleté et qui repose sur un soutien-gorge demi-lune s’arrêtant à la pointe de ses seins.
    
    Malgré les circonstances, je sens ma queue commencer à se durcir.
    
    - Êtes-vous vacciné contre le tétanos ?
    
    - Je l’ignore, j’ai un ami qui me fournit en matériel, je vais lui demander.
    
    - Inutile, je vais aller chercher un vaccin, je passerai chez un médecin de mes amis qui me fournira une ordonnance.
    
    Je la vois partir, c’est le moment le plus risqué de mon aventure, soit elle est franche du collier, soit elle me donne à la maréchaussée.
    
    - Je peux entrer !
    
    C’est Virginia qui vient d’ouvrir la porte et qui entre dans ma chambre.
    
    Elle enlève son manteau, sa blouse s’ouvre, un bouton ayant sauté, un de ses seins m’apparaît.
    
    Il est beau et semble bien ferme.
    
    - Excusez, ces boutons ils sautent toujours.
    
    Elle referme sa blouse.
    
    - Chris, c’est Christian ou Christophe.
    
    - Loupé, c’est Christopher, mon père était texan.
    
    - Mais vous bandez à la simple vue de mon sein ?
    
    - Et ton joli petit cul.
    
    - Tu viens de me montrer que je pouvais te faire confiance, si tu m’avais donné aux flics, ils seraient déjà là.
    
    Je l’ai tutoyée, elle me tutoie en retour.
    
    - Cache cette bosse, montre tes fesses que je te fasse ta piqûre.
    
    Autoritaire avec ça, mais j’aime les femmes qui ont du chien, Virginia semble en avoir à revendre.
    
    - Dis merci pour la piqûre, mais regarde, je dois faire du priapisme.
    
    Je me suis retourné sans remonter mon boxer, me ...