1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (16)


    Datte: 29/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... cou de taureau, ses trapèzes, ses biceps et ses épaules saillantes, ses cuisses et ses mollets gonflés, et son sexe, long et large, soigneusement épilé, lisse et brillant de mouille et de son jus. Le salaud prend son pied autant à limer ma fiancée qu’à me cocufier.
    
    Ses lourdes couilles battent contre l’intimité de Stéphanie. Il s’est vidé les couilles il n’y a pas dix minutes, pourtant elles semblent encore et toujours pleines. Pleines de ce foutre épais donc il a rempli la bouche de l’amour de ma vie. Elle en a avalé une bonne partie, le reste m’est tombé sur le visage. Et est en train de sécher. Lentement. J’ai interdiction d’y toucher.
    
    — J’ai soif.
    
    La voix de Sam est grave et pleine, virile elle aussi, toute puissante.
    
    — Mmmm, moi aussi.
    
    La voix de Stéphanie est douce quand elle s’adresse à son amant.
    
    — Mon chéri, il y a encore du champagne au frais non ?
    
    La voix de Stéphanie est douce quand elle s’adresse à moi mais se teinte de fermeté. D’impérialité.
    
    — Oui Princesse, bien sûr, comme vous me l’avez demandé.
    
    — Et bien qu’attends-tu ? Allez ! Tu n’as pas entendu ? On a soif !
    
    — Oui Ma Reine.
    
    Je me lève, Stéphanie se tourne et roule une longue et langoureuse pelle à Sam. Je les entends amplifier volontairement les bruits de succion, je mets la bouteille de champagne, du Deutz cuvée spéciale, dans le seau à champagne et prends deux flutes. Je reviens au salon et pose le tout sur la table basse. J’ouvre la bouteille. Et sers deux flutes que je ...
    ... leur tends. Ils trinquent et boivent et s’embrassent, comme deux amoureux.
    
    — Monsieur voudrait-il une petite pipe au champagne ? Stéphanie dit cela en riant.
    
    Sam rit, mais son rire se change en un sourire carnassier, une de ses mains se glisse dans la chevelure châtain clair et finement bouclée de Stéphanie, et l’attire vers sa bite bandée.
    
    — Avec plaisir ma belle. Ton cocu va te servir de tabouret, tu seras mieux installée.
    
    Je sais ce que j’ai à faire : sans broncher, j’avance à quatre pattes jusqu’à me retrouver devant les pieds de Sam, j’aplatis au mieux le dos. Stéphanie ne tarde pas à venir s’asseoir sur moi. Je l’entends le sucer, elle verse du champagne sur le sexe raide de Sam qui s’est avachi sur le canapé. Il vide sa flute. Son téléphone sonne. Il répond.
    
    — Oui ? Non, ce soir ce n’est pas possible je suis en train de m’occuper de la copine d’un petit cocu…. Quoi ? Oui, oui… Tu l’as déjà vue, c’est celle que tu trouvais bandante du cul l’autre jour… Oui à la soirée, c’est ça… Eh eh oui tu m’étonnes que tu t’en souviens… Non son cocu n’était pas là non… Là oui il regarde et prend des notes (j’entends Stéphanie rire)…
    
    La suite est floue, Sam a posé son pied nu sur mon visage et me pousse fortement en appuyant sur mon oreille, il dit aussi à Stéphanie de le pomper à fond et elle obéit et lui dit qu’elle aime sucer sa grosse queue d’étalon. Ils rient tous les deux. Je sais qu’il a raccroché car il a fait se lever Stéphanie et l’a fait s’allonger sur le ...
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