1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (16)


    Datte: 29/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    Ça recommençait. Je bloquais sur son SMS. Laconique, factuel. Mon zizi s’est raidi dans mon slip. Je lui ai demandé par SMS si je pouvais l’appeler.
    
    — Là ? Non j’ai la bouche pleine.
    
    — Vous êtes à table ?
    
    — Toujours aussi stupide mon petit cocu.
    
    Elle n’est rentrée que le lendemain avant midi. Elle était habillée en pute, s’est allongée sur le lit et m’a juste dit :
    
    — Viens me lécher bébé, j’ai un cadeau pour toi.
    
    — Oh pour moi ? Merci mon amour.
    
    — Oui, j’allais partir de chez Sam et j’ai pensé à toi, donc je lui ai dit de me baiser une dernière fois et de me remplir, et j’ai tout gardé pour toi.
    
    Je la regardais, pétrifié. Elle a souri.
    
    — Allez, au travail mon petit cocu.
    
    J’ai remonté sa minijupe et ôté son string qui était trempé et je me suis mis au boulot. J’ai tout bien nettoyé avec ma langue, mangé ce qu’il restait de semence en elle. Elle m’appuyait le visage entre ses cuisses pour m’en couvrir de ce doux mélange de mouille et de sperme. Je lui ai ensuite fait couler un bain et préparer un repas. Elle était radieuse. Dans son bain elle m’a dit :
    
    — Ce soir, Sam vient à la maison ; mets du champagne au frais et va acheter des fraises et des petites choses à grignoter. On a une surprise pour toi.
    
    J’ai demandé de quoi il s’agissait, elle a souri :
    
    — Tu verras mon chéri.
    
    Dans l’après-midi elle m’a dit d’envoyer depuis mon portable un SMS à Sam pour le remercier de bien la baiser.
    
    — De rien larbin ! Dis à Stéphanie de se faire ...
    ... belle pour moi ce soir.
    
    — Bien Monsieur.
    
    J’ai fait tout ce qu’ils m’avaient dit de faire, quand Sam a sonné, je suis allé ouvrir, il m’a regardé en souriant ; il est entré et s’est dirigé vers le salon, il n’était pourtant jamais venu mais semblait connaître parfaitement les lieux. Stéphanie l’attendait en porte-jarretelles, bas, string et soutien-gorge noir et déshabillé en soie noire, court. Sur le canapé. Elle s’est levée, ils se sont embrassés, je leur ai servi du champagne.
    
    — La surprise ?
    
    — Plus tard mon chéri, j’ai trop envie de toi.
    
    Je me suis naturellement agenouillé au pied du canapé, sans qu’ils ne me disent rien. Je me souviens d’un grand flou m’envahir puis sortir de ma torpeur d’un coup :
    
    Ses yeux méprisants et joyeux se posent sur moi, pathétique et nu, à ses pieds divins. Le talon d’un de ses escarpins claque au sol, l’autre s’enfonce dans mon abdomen, et subit les va-et-vient de son corps sur le chibre tendu de son amant. Elle s’empale un peu plus à chaque fois ; je redresse la tête pour admirer un peu mieux encore le spectacle divin de son corps de reine en extase. Je sens les pieds nus de son amant, Sam, qui viennent se poser sur moi à leur tour, me faisant subir et ressentir, un peu plus encore ses assauts virils. M’humiliant encore un peu plus. Je tourne la tête vers lui, il me sourit, il est en sueur, les mains posées sur les fesses de Stéphanie, qui lui tourne le dos, penchée et cambrée, tous ses muscles bandés, ses muscles imposants, son ...
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