Le sommeil des ours
Datte: 29/01/2019,
Catégories:
fff,
frousses,
Collègues / Travail
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
init,
Auteur: Nymphea, Source: Revebebe
... détendant chacun de mes muscles grandement sollicités par la marche des derniers jours. Alors qu’elle continuait sur mes cuisses selon mon anticipation, je remarquai que la texture de la crème paraissait différente sur ma peau. D’ailleurs, je ne sentais pas non plus le léger arôme noix de coco qui suffisait presque maintenant à déclencher mon excitation. Le parfum qui me parvenait était plus proche de celui d’huiles essentielles, un peu épicé, avec une note de cannelle, sa texture plus liquide.
— Tu as changé de crème, Léna ?
— Oui, je trouve que tu as bien bronzé, je pense que tu peux passer à un indice un peu plus bas. Tu es toute dorée.
Effectivement, malgré mes longues heures d’exposition au soleil, je n’avais pas rougi. Je ne sais pas si on pouvait tout à fait dire que j’avais bronzé, mais ma peau avait pris une teinte dorée qui n’était pas désagréable au regard. Une fois mes jambes enduites jusqu’à mi-cuisses, Léna me fit me mettre à genoux pour mieux protéger mon dos. Louise vint alors nous rejoindre sur la serviette pour badigeonner mon ventre et mes épaules. Bien vite, à elles deux, elles eurent enduit toutes les zones non érogènes de mon anatomie. Cet évitement soigneux était une forme de torture en soi et mon impatience montait.
Je ne devais pas être la seule à m’impatienter, car Léna se mordillait les lèvres d’un air gourmand, ce qui fit rire Louise. Elle demanda malicieusement à la jeune femme si elle pensait que j’avais eu « ma dose », et devant sa ...
... réponse affirmative se tourna vers moi avec un de ces sourires de guingois dont elle avait le secret :
— Je pense qu’on t’a assez fait mariner… Tu ne regretteras pas d’avoir patienté.
Comme je craignis d’avoir mal compris, elle plaça ses deux mains sur mes côtes, juste sous mes bras, ses deux pouces juste à la lisière de mes seins, et se pencha vers moi pour m’embrasser, longuement, avec la langue. Une vraie pelle. Puis écrasant sa poitrine ferme et bien dessinée contre la mienne, elle se pencha un peu plus pour coller un baiser sur la bouche de Léna dont les gros seins ronds me chatouillaient les omoplates. Un véritable sandwich de seins. Louise, l’impatiente, se saisit du tube de crème et en vida une bonne partie directement sur chacun de mes tétons. La crème, plus liquide que la précédente coula en longues traînées, gouttant du bout de mes mamelons, le long de mon ventre, formant une petite flaque dans mon nombril, débordant rapidement.
Louise stoppa les gouttes avant qu’elles n’atteignent ma toison et badigeonna généreusement mes seins en cercles concentriques, s’arrêtant de temps à autre pour essuyer une goutte perlant sur un téton durci. Je tressaillais, n’osant croire qu’enfin, enfin…
Entre-temps Léna, accroupie derrière moi, avait augmenté l’écartement de mes genoux plantés au sol pour pouvoir finir d’enduire mes cuisses. Ses mains remontèrent rapidement du genou vers le haut de mes cuisses, de plus en plus haut comme à son habitude. Mais contrairement à ...