Séduction cul...inaire - Histoires de Sexe

Séduction cul...inaire

... Vous devriez essayer celui qui vous convient. Je puis vous conseiller si vous le désirez.
— Volontiers, car je n’y connais rien.

Nous passons dans une pièce avec une cabine d’essayage. Oui, mais je ne peux pas me déshabiller devant elle.

— Vous êtes gêné ; mais si vous avez un caleçon, il n’y a aucun problème.
— Bien, si cela ne vous choque pas.

Je tombe le pantalon et le polo. Elle m’examine et me tend un costume. Je l’enfile, me regarde dans la glace en pied ; il me va très bien, elle a le coup d’œil.

— Il n’est pas mal, mais vous devriez essayer celui-là.

Je l’écoute et change de tenue. Elle examine, m’en fait essayer un autre ; alors là, c’est parfait. C’est celui-là que je vais prendre.

— Celui-ci vous va très bien, vous avez la taille mannequin.
— Il me convient, mais quel en est le prix ?
— Soixante euros. Mais il faut laisser un chèque de caution.
— C’est bon, je le prendrai vendredi soir.
— Il est souvent difficile de trouver un costume qui aille au client, mais au premier coup d’œil j’ai su que je trouverais ce qu’il vous faut. Mais si vous voulez, passez samedi matin : je vous aiderai à vous habiller.
— Ah, volontiers ; je vous avoue que je suis un peu maladroit.
— Il faudrait toutefois que vous me le confirmiez la veille. Je vous laisse la carte du magasin, vous n’avez qu’à demander Cécile.
— Merci.

Me voilà tranquille pour la noce. Et je serai sapé comme un ministre.

Sonia était rentrée dimanche soir. Pas de commentaire sur son ...

... absence, mais j’ai dû coucher dans la chambre d’amis. Toute la semaine, soupe à la grimace. Le jeudi soir je lui dis :

— Samedi, je suis de mariage ; je rentrerai probablement tard le soir.
— Tu n’as pas besoin de rentrer : Norbert vient ici samedi. Prépare tes bagages : tu gicles. Et oublie-moi. En dehors de baiser, tu n’es bon à rien.
— Mais, Sonia…
— D’accord, tu as réveillé mon cul. Mais maintenant, il fonctionne bien tout seul.

Merde… Comment vais-je faire ? Je n’ai pas de logement, et avant d’en trouver un… Pour dormir, j’irai à l’hôtel ; mais où poser mes bagages ?

Le vendredi soir, j’appelle Cécile : je passerai demain matin.

Je lui demande par la même occasion si elle ne sait pas où je pourrais déposer mes valises.

— Vous êtes dehors ?
— Oui, ma nana vient de me virer. Pour dormir, j’irai à l’hôtel, mais j’ai deux grosses valises et un énorme sac.
— Je vais essayer de trouver une solution d’ici demain matin. Prenez vos bagages dans votre voiture.
— Merci. Vous êtes formidable.

Le lendemain, j’embarque tout dans le coffre et je vais retrouver Cécile pour qu’elle m’habille. Espérons qu’elle a trouvé une solution pour mes bagages, sinon je vais traîner le tout pendant quelques jours dans la voiture.

— Bonjour, Mademoiselle ; excusez-moi de vous imposer ce travail.
— Au point où l’on en est, appelez-moi Cécile.
— Et moi c’est François.
— Pour tes bagages, je peux les entreposer chez moi pendant quelques jours. Mais je suis en colocation avec ...