Séduction cul...inaire
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
ffh,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... paru la plus féminine. Elle me tentait terriblement, mais je ne fais jamais l’amour avec une femme inconsciente ou ivre. Et maintenant, que faire ? Je n’ai pas voulu la laisser seule et me suis allongé sur le canapé du salon.
La couche n’était pas formidable, et le matin à sept heures j’étais debout. Elle dormait d’un sommeil agité. Elle n’allait pas se réveiller de sitôt. J’ai fait comme chez moi : j’ai pris une douche et me suis préparé du café. Je ne sais pas si c’est cette odeur qui l’a réveillée, mais elle a balbutié quelques mots. Je suis allé auprès d’elle. Elle a été surprise de me voir là, mais m’a demandé d’abord une aspirine. J’ai trouvé l’armoire à pharmacie dans la salle de bain. Elle a avalé son breuvage et s’est rallongée. J’ignore si elle dormait, mais elle n’a donné signe de vie qu’une demi-heure plus tard.
Elle est arrivée dans le salon, les traits tirés. Immédiatement, elle m’a demandé :
— Qui êtes-vous et que faites-vous chez moi ?
— Je vous ai raccompagnée hier au soir ; vous n’étiez pas très en forme.
— J’étais bourrée, vous voulez dire !
— Alors, je vous ai couchée.
— Et baisée…
— Non : je ne baise les filles que si elles sont consentantes.
— Je vous remercie.
Elle me mettait à la porte. J’aurais bien aimé rester un peu plus longtemps et la baratiner. J’ai utilisé un argument convaincant.
— Il vous faut récupérer votre voiture. Si vous voulez, je pourrais vous y conduire.
— Oh oui ! Si cela ne vous dérange pas, je m’habille et nous ...
... y allons.
— Attendez ; prenez une douche ou un bain, je crois que cela vous détendra. Vous serez mieux ; rien ne nous presse. Je lirai les revues en vous attendant, j’ai tout mon temps.
Elle s’est assez rapidement douchée, mais quand elle a vu son visage dans le miroir, elle a tenu à faire un ravalement de façade. Ce fut un travail minutieux et assez long. Quand elle est ressortie, au bout d’une heure, elle était belle malgré les ennuis de la veille.
— Bien, maintenant nous pouvons y aller.
— Mais vous ne prenez pas de café ou un petit déjeuner ?
— Non, merci. Mais vous, avez-vous mangé ? Il y a là biscottes, pain, confiture ; enfin tout le nécessaire.
— Je vous remercie, je vais en profiter.
Un moment de gagné avec ce petit déjeuner. J’ai tout fait pour le prolonger. Il a fallu quand même y aller. En route, je me suis présenté.
— Nous ne nous reverrons peut-être plus, ce qui me désolerait, mais je tiens à me présenter : je m’appelle François Chambon. J’étais à l’anniversaire hier au soir.
— Sonia Lagarde, en fac de médecine. Je tiens à vous remercier : vous avez été très gentil, et surtout d’une parfaite correction. Je tiens à vous inviter un de ces jours chez moi.
— Pourquoi pas aujourd’hui ?
— Non, je n’ai rien de prêt et ne me sens pas en forme pour préparer un repas, d’autant que je suis une cuisinière détestable.
— Si vous m’y autorisez, je m’en charge.
— En êtes-vous capable ? Remarquez, j’ai des congelés, des conserves, des pâtes ; c’est mon menu ...