1. Séduction cul...inaire


    Datte: 28/01/2019, Catégories: ffh, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... n’arrivais pas à jouir ; ma première prestation m’avait vidé, mais mon sexe restait raide. Enfin elles m’ont abandonné, satisfaites de leur prestation.
    
    À nouveau, j’ai replongé dans un repos sans rêves. C’est une caresse sur la joue et un doux baiser qui m’ont tiré de mon sommeil. En ouvrant les yeux, j’ai vu les deux visages qui souriaient amicalement.
    
    — Félicitations, me dit Céline. Nous voulons que les hommes connaissent les sensations que nous ressentons quand ils nous traitent comme des objets. Pour cela, nous faisons des essais. Cela leur sert de leçon.
    — Nous faisons subir cette séance aux gars qui veulent nous sauter. Mais jusqu’à présent, aucun n’avait pu se taire. Colère, satisfaction, supplications, menaces… Ils ont crié, nous ont félicitées, rejetées, insultées. Mais aucun n’est plus jamais revenu.
    — Par contre, tu as résisté et nous nous sommes dit que nous pourrions te garder et t’utiliser quelque temps. C’est pratique d’avoir un mâle sous la main quand on rentre, sans en être dépendantes ni liées. Et pour toi, c’est encore mieux : deux filles ; tu en auras toujours au moins une de disponible.
    — D’autre part, nous avons apprécié ta cuisine. Nous te proposons un contrat : nous te logeons gratuitement et toi, tu te charges de fournir les denrées pour la subsistance, et surtout de sa préparation.
    — Tu pars naturellement quand tu veux. Précisément, le contrat est rompu quand l’un de nous trois veut partir ou bien quand les deux autres lui demandent de les ...
    ... quitter.
    — Je suis d’accord : j’accepte les termes de cet accord.
    
    Et ainsi pendant une année environ, j’ai été comme un coq en pâte. Certes, il me fallait cuisiner, mais j’adore ça. Et surtout, le soir j’étais accueilli par mes femmes. Nous restions libres de sortir si nous en éprouvions l’envie, mais je n’ai que très peu utilisé cette facilité. Avec Cécile, nous aimions bien discuter ; Francine préférait assurer les courses.
    
    Les premiers temps, tous les soirs nous profitions les uns des autres, par couple souvent différents ou bien plus rarement en trio. Puis nous nous sommes un peu calmés. Avec Cécile, c’était un plaisir tout en douceur. Au contraire, Francine menait l’union tambour battant. Mais elle ne venait plus me rejoindre aussi souvent, et surtout ne terminait jamais la nuit avec moi, contrairement à sa collègue. D’ailleurs, Cécile m’en faisait la remarque.
    
    Un samedi, Francine nous a proposé d’organiser une grande fête du cul, comme elle a dit. J’ai soigné particulièrement la cuisine ; les filles se sont déchaînées avec moi ou entre elles. Le soir, j’étais allongé entre elles ; nous étions fatigués mais détendus. Francine se mit à parler :
    
    — Mes amours, j’ai une grande nouvelle à vous annoncer : je vais vous quitter. Non pas que je ne sois pas bien ici ; j’ai passé une période merveilleuse depuis que François s’est joint à nous.
    — Alors pourquoi pars-tu ? lui demanda Céline.
    — Tout simplement parce que j’ai trouvé l’amour. Certes, il n’est pas parfait, ...