Séduction cul...inaire
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
ffh,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... préfère qu’elles ne soient pas là : elles m’auraient troublé et j’aurais pu rater un plat. Mais tout de même, je trouve un peu cavalier de même pas prendre au moins des nouvelles, voir où j’en suis.
Après avoir préparé les couverts, je suis allé frapper à la porte de la chambre de Céline ; elle était vide. Dans celle de Francine, sur le lit, un spectacle merveilleux : deux filles nues, enlacées qui dorment. On pouvait supposer que ce n’était pas seulement la fatigue de la semaine qui les avait mises dans cet état-là, mais plutôt les activités tumultueuses de la nuit ou de la matinée.
Je suis resté quelques instants immobile, les contemplant. Pourtant, il fallait bien les prévenir. M’asseyant sur le bord du lit, j’ai caressé le bouton d’un sein qui dépassait de cet ensemble. Il appartenait à Francine, elle ronronnait et a murmuré :
— Arrête, Cécile, je n’en peux plus.
Cette dernière s’éveilla ; ouvrant les yeux, elle m’aperçut la main sur le sein de Francine.
— Oh, le salaud. Il entre dans la chambre, profite qu’on se repose pour nous toucher !
— Et moi qui croyais que c’était toi qui en voulais encore !
— Je venais juste vous dire que le repas était prêt, dis-je ; il est bientôt une heure !
— Oh, nous n’avons pas vu passer le temps. Nous arrivons, laisse-nous passer un vêtement.
Quelques minutes plus tard elles débouchent dans la cuisine. Toutes deux ont mis une robe légère, d’été, bien courte et échancrée. Tellement courte et tellement échancrée qu’au ...
... premier coup d’œil je constate qu’elles ont oublié les sous-vêtements.
Je suis en plein travail et refuse l’aide qu’elles me proposent.
Elles s’installent donc et je joue au maître d’hôtel. Je ne m’installe qu’après les avoir servies. À chaque plat, j’opère de même. On peut penser que c’est une corvée, mais en réalité c’est un plaisir merveilleux. En effet, en me penchant pour assurer le service, je contempler les seins, je m’attarde, mais elles ne réagissent pas. Toutefois, j’aperçois un petit sourire en coin sur leur visage.
À la fin du déjeuner, elles m’indiquent qu’elles désirent prendre le café sur le canapé. Je débarrasse la table, remplis le lave-vaisselle, puis leur sers leur breuvage. J’ai ma tasse à la main et m’assieds dans le fauteuil en face.
— Tu as vu, Francine ? Il est vraiment incorrigible. Nous nous sommes mises à l’aise, et il en profite pour nous mater le cul.
— D’autant que, je ne sais pas si tu l’as remarqué, mais pendant tout le repas il s’est payé un jeton sur nos seins. On n’est même plus tranquille chez soi.
— Viens t’installer entre nous deux, me disent-elles ; ainsi, tu ne jetteras plus de regards indiscrets.
Cette invitation ne semble pas seulement destinée à détourner mon regard. Je sens qu’elles m’ont préparé une surprise.
Le canapé est assez étroit ; elles sont obligées de se serrer contre les accoudoirs et je parviens à glisser mon cul entre les leurs. Mes bras sont à l’étroit. Je les passe derrière leur tête. Mes mains ...