Séduction cul...inaire
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
ffh,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... durable pour l’instant.
La soirée est agréable, mais pourtant il me faut rejoindre l’hôtel. J’en fais part à mes hôtes.
— Tu tiens tellement à aller là-bas ? Nous avons une chambre chacune. Nous coucherons ensemble et te laisserons l’autre, à moins que cela ne te dérange, me dit Francine.
— Oh non, cela ne me dérange pas ; au contraire, vous me faites vraiment plaisir.
— Eh bien, c’est entendu, dit Cécile ; je te laisse ma chambre.
Je suis heureux d’avoir un lit ; mais pour ne pas déranger, j’aurais bien pris la pensionnaire avec… Mais il ne faut tout de même pas trop demander.
— Viens faire connaissance des lieux.
Elle me guide à sa chambre – la mienne ce soir – à la salle de bain et aux toilettes.
— Mais ne te trompes pas : celle-ci est celle de Francine. Prière de ne pas nous déranger, nous aimons bien notre intimité.
— Dommage que tu m’en interdises l’accès, je serais bien venu vous dire bonsoir…
— Non, pas question.
Nous nous concertons pour le lendemain matin, qui prend le premier la salle de bain. Je propose à ces dames de ne pas changer leurs habitudes ; je me lèverai, de manière à ne pas les gêner. Puis elles se dirigent vers leur chambre commune ; je regagne l’autre.
Rapidement déshabillé, je me couche dans des draps moelleux. Un coup discret à la porte ; qu’ont-elles oublié ?
— Entrez.
— Tu es gonflé : nous t’invitons, et tu ne nous dit même pas bonsoir ! me dit Francine.
— Je serais venu volontiers, mais l’accès à votre chambre ...
... m’est interdit, m’a dit Cécile. J’ai obéi.
Elles entrent toutes deux, prête à aller dormir, c’est-à-dire en nuisette largement échancrée et couvrant difficilement les fesses. Elles passent chacune d’un côté du lit, se penchent pour m’embrasser. Je ne sais de quel côté lancer mon regard. J’ai le spectacle de poitrines de part et d’autre. Elles m’embrassent longuement sur les joues.
— Tu as vu, dit Francine, il me reluque mes seins !
— Et moi, il dédaigne les miens. Tu ne les trouves pas assez beaux !
— Excusez-moi, mais je ne peux les comparer ; vous êtes de part et d’autre, et j’ai beau loucher, je ne peux faire mieux.
— Tu as entendu, Francine ? Il ne peut se décider ; c’est un comble ! On va te les montrer ensemble, et tu nous diras quels sont les plus beaux.
Et aussitôt, elles quittent leur nuisette et, nues, se mettent au pied du lit, face à moi. C’est un spectacle magnifique. Oui ; mais comment désigner la gagnante ?
— Alors, tu te décides ? Dis-nous ton choix !
— Vous êtes un peu loin et je n’ai pas mes lunettes.
— Rapprochons-nous, il pourra mieux juger.
Et elles viennent s’asseoir de part et d’autre sur le lit. J’ai les seins à portée de main, et l’envie de les toucher. Mais je garde mon calme et tente une mesure de diversion.
— Je les trouve très beaux tous les quatre, mais les deux que je préfère, c’est le droit de Francine et le gauche de Cécile. Je les vois mieux comme ils sont côte à côte. Toutefois, puisque mes yeux n’arrivent pas à juger, ...