Quand le tulle et le rose s'emparent d'Adeline - Histoires de Sexe

Quand le tulle et le rose s'emparent d'Adeline

... par cette dernière exigence décide de lui obéir. De toute façon, ce qu’il ne va plus tarder à découvrir le comblera certainement au-delà de toutes ses espérances. Quel garçon gâté !

Elle se tourne, écarte légèrement les jambes. Elle plaque ses bras derrière son dos, les mains croisées, faisant remonter et bomber ses seins aux extrémités toujours aussi boursouflées et comme gorgées d’un désir encore non comblé.

Il reste patient, l’attente lui paraît soudainement très longue, certainement parce qu’il se languit lui aussi. Elle va le faire tourner en bourrique et lui imposer, il en a peur, une autre contrainte à la dernière seconde. Il se trompe.

— Je suis prête, déclare-t-elle d’une voix fébrile.

Frédéric, bien que tenaillé par un désir impérieux, ouvre lentement les yeux, mais pas aussi lentement qu’il l’aurait souhaité. Son regard, comme averti à l’avance, se dirige aussitôt vers ce triangle de tulle qui masque tant bien que mal un monticule bien rebondi surmonté d’un buisson noir. Quelle découverte ! ! ! Il contient avec peine cette toison très fournie, bien que convenablement taillée. Elle gonfle le tissu en un renflement brouillon. Des poils mutins, ayant choisi la voie de la liberté, débordent de part et d’autre du mini-slip.

Mais ce qui lui coupe presque le souffle et le fige c’est la découverte de la naissance de ce sexe nettement démarquée de sa protection naturelle. Il en distingue parfaitement tous les contours, les grandes lèvres et ce noyau planté ...

... presque au sommet de cette amande charnelle. Fruit d’amour, tout aussi boursouflé que la forêt qui le borde, il semble littéralement offert.

— Il n’y pas le moindre doute. C’est tout à fait ce que je recherche, un peu trop même, arrive à articuler Frédéric. C’est magnifique. Je suis comblé. Vous êtes vraiment gentille de m’offrir un tel spectacle.

Il marque une légère hésitation avant de poursuivre. Quel compliment peut-il lui faire sans paraître stupide et flagorneur ?

— Je dois aussi reconnaître et vous dire que sincèrement, vous êtes très belle et attirante.
— N’exagérez rien s’il vous plaît et ne me flattez pas non plus. Je n’ai rien de plus que beaucoup d’autres femmes, sauf que j’accepte aujourd’hui et c’est exceptionnel de me dévoiler devant un inconnu, enfin un peu moins maintenant. Et puis, j’aurais pu vous en montrer encore plus si j’étais épilée, mais ce n’est pas mon genre, ni même de n’avoir qu’une légère ligne de poils pubiens. Je préfère ma toison bien fournie, elle fait partie du corps féminin, de mon corps et peut-être certains hommes aiment à jouer avec. Et, je reconnais aussi que vous n’êtes pas mal non plus pour un quadra si je ne me trompe pas sur votre âge. Je vais peut-être vous vexer.
— Non, vous ne vous trompez pas.
— Mais ! ! ! s’exclama-t-elle dans un large sourire et le fixant avec insistance. N’est-ce pas à votre tour d’essayer votre string. Et là, si je regarde au point où j’en suis, je crois que j’ai une bonne longueur d’avance. Non ! ...