1. Astrid et Julia (2)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... tu sais faire.
    
    Elle s’assoit sur le canapé. Mon sexe débandé est à hauteur de sa bouche. On voit qu’elle hésite. Manifestement, ou elle ne l’a jamais fait, ou ça la dégoute. Il faut que je prenne les choses en main ou s’en est fini de ma domination. Je bifle ses joues.
    
    — Alors ? J’attends.
    
    — Je n’ai jamais fait de fellation.
    
    — Non je rêve. Toi la fille délurée qui m’a dragué ouvertement hier, que je viens de baiser à l’instant alors que tu n’es plus vierge, tu ne sais pas sucer une verge ? Combien d’hommes t’ont fait l’amour ?
    
    — Juste celui qui m’a déflorée il y a trois mois.
    
    — Et tu ne lui as jamais brouté le poireau ?
    
    — Non il m’a prise debout dans les toilettes du lycée le jour de mon anniversaire. J’étais saoule. C’est pour ça, quand je t’ai vu la première fois, j’ai pensé que tu pourrais être mon initiateur. J’ai joué les dégourdis mais je ne le suis pas. S’il te plaît, apprends-moi !
    
    Ce ne sont alors que des successions d’ordre de ma part qu’elle exécute sans rechigner.
    
    — Prends ma queue dans tes mains et commence par branler le manche. Puis tu suçotes le bout. Tu vois je commence à bander. Maintenant prends mon sexe entièrement dans ta bouche – attention à tes dents – et avec tes lèvres tu effectues des pressions. Bon travail, maintenant je suis bien dur. Enlève tes mains je vais te coïter jusqu’au fond de ta gorge.
    
    Je prends alors sa tête et je m’enfonce dans les tréfonds de son gosier. Elle hoquète, crache, pleure...
    
    — Doucement ma ...
    ... belle, respire. Allez, encore un effort, avale toute ma queue. Voilà j’y suis.
    
    Un délice de sentir son gland emprisonné dans le larynx d’une jeune fille et de la posséder ainsi. Néanmoins je ne tiens pas à finir de cette façon. Je la relève, me débarrasse définitivement de tout vêtement et l’emmène jusqu’à l’îlot centrale de la cuisine. Je la couche sur le dos et je lui relève les jambes contre sa poitrine. J’introduis progressivement trois doigts de ma main dans sa chatte et je branle vigoureusement son point G.
    
    Julia transpire. Son corps est agité de soubresauts. Son dos s’arc-boute, elle est proche de la jouissance. Je continue mes mouvements en les accélérant. Elle pousse des cris, hurle son bonheur d’être ainsi possédée. Dans un dernier hurlement, un jet de mouille jaillit de son sexe et arrose tout autour d’elle. Elle s’écroule, épuisée.
    
    Je ne veux pas qu’elle se repose. Je veux la gaver de sexe pour la faire devenir accro. Pour cela je dois être résistant longtemps. J’enfile un anneau pelvien qui va m’assurer une érection pérenne. Je la pénètre lentement jusqu’à ce que mon gland soit abouté à sa matrice. Je me déchaîne alors et la défonce inexorablement à la vitesse d’un marteau piqueur. Je ressors de sa chatte, fait pivoter son corps ; comme une toupie ; sur le plan de travail de la cuisine, et c’est sa bouche qui reçoit mon sexe englué de ses substances intimes. Sa gorge est envahie à nouveau.
    
    Je la fais descendre et pencher sur l’îlot. C’est cette fois en ...