1. Astrid et Julia (2)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Le lendemain matin, en prévision des jours à venir, je vais dans un sex-shop pour acheter quelques accessoires. Je ressors avec un sac bien plein : godes divers très réalistes, butt plugs, boules de geishas, fouets et paddles, pinces diverses... La parfaite panoplie du maître qui va chercher à dompter ces deux femelles. Elles en veulent, elles vont en avoir. Rien que d’y penser je bande déjà. Heureusement Julia vient cette après-midi je vais faire en sorte qu’elle me soulage de cette tension. Une minette de dix-huit ans ce doit être le pied.
    
    Il est quatorze heures lorsque mon portable sonne. C’est elle qui me prévient qu’elle arrive. Je la vois traverser la rue et sonner à ma porte. Je viens lui ouvrir et elle apparaît, éblouissante, très féminine. C’est la copie conforme de sa mère, en plus jeune. Elle m’a obéi en mettant une jolie robe verte, sans manche, serrée à la taille par une ceinture à la couleur de ses yeux verts. Ses genoux sont à peine dévoilés. Elle a remonté ses cheveux en chignon, dégageant ainsi son visage à peine maquillé.
    
    Je la fais entrer dans le salon sans dire un mot et je me place derrière elle.
    
    — Bonjour Julia. Il est temps de reprendre notre conversation d’hier. Tu as accepté de venir. Tu entends donc répondre à toutes mes demandes, mes désirs sans barguigner ?
    
    — Oui dit-elle dans un souffle. Je suis à toi sans condition.
    
    C’est alors un enchaînement. Une fermeture Éclair qui glisse le long de son corps... La robe qui tombe à ses pieds ...
    ... révélant une chute de reins fantastique. La voilà nue, sans défense.
    
    Je la prends dans mes bras, ses fesses peuvent sentir la dureté de mon sexe. J’empaume ses seins dont je triture les pointes sans ménagement. Elle pousse de petits cris. Une de mes mains vient se poser sur son pubis et progresse vers l’entrée de sa coquille. Je débusque son clitoris que je fais rouler dans mes doigts. Elle est à moi, abandonnée. Je continue mon avancée en faisant progressivement entrer ma main dans son sexe étroit. Elle n’est pas vierge. Il est temps pour moi de me libérer de cette tension qui m’habite depuis hier. Je ne veux penser qu’à mon plaisir. Elle ne doit pas encore jouir. Je lui ai dit. Il faut qu’elle le mérite.
    
    Je la penche sur le canapé après avoir baissé mon pantalon et je l’enconne d’une seule poussée. Ça entre comme dans du beurre tellement elle attendait ce moment. Je ne peux résister tellement c’est bon de la posséder et je l’inonde de longs jets de sperme la laissant frustrée de n’avoir pas pu jouir.
    
    — J’espère que tu prends la pilule parce que je t’ai mis la dose. Tu es vraiment trop bonne et je n’ai pas pu me retenir.
    
    — Oui je la prends mais tu as été trop vite. J’étais au bord de l’orgasme et tu as fini avant moi.
    
    — C’était pour te punir d’être aussi bandante. Mais si tu m’obéis bien tu vas voir que bientôt tu me supplieras d’arrêter de te faire jouir. Pour commencer, suce- moi bien la bite pour me nettoyer et redonner vie à mon braquemart. Montre-moi ce que ...
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