L'insoutenable perversité de l'être
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
extracon,
fsoumise,
fdomine,
sm,
fouetfesse,
journal,
Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe
... Elle venait de sortir un dernier accessoire du placard et elle me le proposait :
— Voici pour compléter la tenue. Cela ne s’utilise que sur les croupes des chevaux.
Elle me tendait une cravache. Elle ajouta en souriant :
— À moins, comme le disait maladroitement l’une de mes amies lors de votre dernier passage ici, que l’on fasse partie de ces amateurs de sensations fortes !
Cette phrase m’a tétanisée. J’ai voulu attraper la cravache, et du coup j’ai lâché le haut du pantalon qui est tombé sur mes bottes. J’ai rougi immédiatement. Cathy s’est baissée spontanément pour relever le vêtement. Réflexe étrange puisque de toute façon je devais l’ôter pour me rhabiller. Ses mains se sont attardées sur mes mollets, mes cuisses. Elle ne semblait pas du tout émue, elle me parlait sereinement :
— Vous avez de jolies jambes et une peau très douce.
Elle s’est redressée derrière moi et a regardé mon visage dans la glace. J’étais écarlate, elle m’a souri :
— Ce n’est pas la première fois que vous montrez votre trouble devant moi ! Ne vous en formalisez pas, je trouve cela charmant !
Elle avait remonté le pantalon et le maintenait elle-même autour de ma taille. Moi je restais figée comme une idiote avec la cravache dans les mains. Elle a poursuivi :
— J’ai envie de vous demander si c’est le fait de vous dévoiler devant moi qui vous trouble à ce point, ou plutôt mon allusion à cette fameuse fessée ?
C’était dit gentiment, avec un grand sourire, comme si elle ...
... cherchait à satisfaire une petite curiosité. Mais je restais rouge et muette. Mon cœur battait la chamade, j’avais envie de disparaître, mais aussi que cela se prolonge !
Elle a osé continuer :
— Moi, je crois que c’est la fessée !
Elle me souriait dans la glace, ce n’était pas moqueur du tout et je restais accrochée à son sourire bienveillant, comme s’il pouvait, à lui seul, me tirer de cette impasse. Elle a interprété mon silence comme une invitation :
— Vous pouvez le dire, Alexandra, si c’est cela. Il n’y a pas de honte à apprécier ce genre de traitement.
Et puis, doucement, en silence, elle a laissé retomber mon pantalon. Sans lâcher mes yeux dans le miroir, elle a attrapé ma culotte qu’elle a fait descendre sur le haut de mes cuisses. Je n’y ai opposé aucune réaction, j’étais comme hypnotisée. Elle a reculé de quelques centimètres, juste pour être plus à l’aise dans ses mouvements. Puis elle a administré la première claque. J’ai suffoqué !
Surprise, car je ne savais pas où elle voulait en venir, et troublée, parce que mes fesses ainsi dévoilées réclamaient ce geste. Elle a recommencé, j’avais la bouche ouverte pour aspirer plus d’air, il me semblait en manquer. Elle me regardait toujours, sans aucune méchanceté, sans même sembler me juger, elle me fessait à grandes claques régulières, c’est tout. Je n’ai plus supporté son regard, alors j’ai baissé la tête et j’ai fermé les yeux. Je me suis alanguie. Petit à petit, au rythme de ses claques, j’ai ressenti une ...