L'histoire de la truie : genèse
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Erosetlesbos, Source: Hds
... lui lécher les testicules. Enfin, il me mit sur le ventre et s’installa à califourchon sur moi, son sexe fiché dans le mien, puis commença à me ramoner, à nouveau en grognant comme un animal sauvage, des grognements sourds mais oh combien excitant. De couinement de salope pas encore réveillée à meuglement de vache en chaleur, mes cris se firent plus forts. J’espérais que mes parents ne l’entendent pas mais Joël ne m’aidait pas vraiment. Il s’ôta de moi mais ce fut pour lécher mon trou du cul, puant de la chaleur de la nuit. Il le léchait, faisait pénétrer sa langue et enfin, après l’avoir bien lubrifié, il entra dans mon conduit interdit, dilatant mes parois anales par la seule force de son pénis et se mit en tête de me nettoyer de mes sécrétions par un ramonage en bonne et due forme. Il abandonna toute douceur pour se vider quasiment les couilles dans mon rectum. Il me fessait, me traitait de truie obèse, de vache laitière et de moche et cochonne, me giflait et m’étranglait et parfois, me faisait avaler ses crachats. J’étais à nouveau une grosse femelle juste bonne à se faire cuisser et lui, mon mâle dominant. Au bord de la jouissance, il sorti de mon trou puant et présenta sa verge malodorante à mes narines : « Suce. » Je m’appliquais à le sucer et il jouit dans ma bouche en criant son plaisir. J’avalais son nectar ainsi que le peu de sécrétions anales qui se mêlaient à ce délicieux sperme.
Là-dessus, il se leva brusquement et parti à la douche, nu. J’entendis la voix ...
... de ma mère choquée de le voir ainsi dans la pièce mais étonnement, elle ne s’en offusqua pas et se mit à blaguer avec. J’imaginais la scène lui avec le sexe encore érigé et parlant avec décontraction et ma mère, le teint un peu rougeâtre de gêne et néanmoins quelques peu excitée. Puis, la porte claqua et il s’enferma dans la douche. Ma mère en profita pour entrer dans ma chambre : « ça pue le sexe… Mon Dieu ma fille mais tu es vraiment…. Ah je n’ai pas les mots. » Et elle partit. Je restais coite et interdite. Que penserais ma mère ? En me levant, j’allais aussi prendre ma douche.
Nous refîmes l’amour (ou plutôt l’accouplement) dans la journée, je le suçais en présence de Leslie et ma sœur qui étaient très intéressées. Je pense qu’elles auraient aussi voulu s’amuser mais cependant, je ne le voulais que pour moi. Naïve, je m’imaginais déjà me mettre en couple avec lui. Au moment du départ, je devais être déçue : « Merci pour tout, ma grosse ! Ce soir, je vais baiser avec une copine mais tu m’as tellement vidé, je ne sais pas s’il restera un peu de jus pour elle. » J’en fus choquée et mortifiée et je m’apprêtais à lui lancer une réplique cinglante comme « Et moi ? J’étais juste ton sex-toy ? Connard ! » Mais avant ça il me dit : « Le weekend prochain, tu viens à Genève et je te prendrai toute la journée, avec une surprise à la clé. » Je compris alors que j’étais désormais en son pouvoir, que de fille sage et délaissée, j’étais devenu sa chienne, sa pouffiasse, sa pute, sa ...