1. L'histoire de la truie : genèse


    Datte: 26/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Erosetlesbos, Source: Hds

    ... d’homme. C’était amer, pas vraiment bon mais ça m’excitait de voir l’effet que j’avais produit sur un tel Apollon ! J’en avalais le plus possible, cochonne à souhait comme il le voulait et il m’arrosa copieusement, telle une dinde à rôtir qu’on arrose de sauce pour qu’elle ne sèche pas trop à la cuisson. Je pensais après les derniers soubresauts de son pénis que c’était alors terminer mais il me fit ouvrir la bouche « Nettoie-moi, truie obèse ! Je veux être vidé jusqu’à la dernière goutte et surtout être propre pour dormir ! »
    
    Il glissa son gland encore violet et brulant dans ma gorge et fit des allers-retours en prenant soin de toucher ma luette et de provoquer en moi des haut-le-cœur forts, me faisant saliver et baver sur sa grosse bite, mes glaires se mélangeant sur mon menton à son sperme. Enfin, ça terminé, il m’envoya à la salle de bain pour me laver visage et bouche : « Je n’ai pas envie de me réveiller avec une truie qui pue le sperme quand je voudrai l’embrasser. » Je me levais et m’apprêtais à enfiler mon pyjama lorsqu’il m’en empêcha en me disant qu’une truie se devait d’être nue. Il insistait sur le caractère porcin qu’il me trouvait et je m’en sentais blessée mais aussi très excitée.
    
    En face de la glace, dans la salle de bain, je me senti d’abord humiliée, honteuse, dégueulasse… Mais ces impressions laissèrent bientôt la place à un sentiment plus agréable, l’excitation. Je pris une douche en plus de ma bouche. Je remarquais que j’avais des taches brunes aux ...
    ... fesses, ma sodomie avait été des plus agressives. Y repenser me fit mouiller instantanément et je me mis à me masturber avec le pommeau de douche, la pression du jet appuyant sur mon clitoris. Après avoir jouis encore une fois, j’allais me coucher. Il dormait déjà à point fermé, je me glissais sous la couette ; au moins ma chambre était propre et mes draps que je ne changeais quasi-jamais l’étaient de même. Plus d’odeur nauséabonde, plus de trace de sueurs et de crasse, ma chambre était agréable à y dormir. Détendue et assommée de fatigue par le sexe, je m’endormis presque instantanément.
    
    C’est une petite sensation chaude sur le visage qui me réveilla. J’ouvris les yeux et sentis quelque chose se frotter contre mes joues, sur mes narines et contre mes lèvres. Après avoir repris mes esprits, toujours allongées, je remarquais qu’il s’agissait du gland de Joël. Pas encore bandé à fond mais déjà d’une jolie taille, il se frottait contre mon visage, répandant sa forte odeur sur la face, une odeur de sexe pas encore lavé du matin, une odeur de sperme séché, une odeur de mâle, une odeur qui m’excita en quelques secondes. « Ouvre la bouche, ma petite grosse vache d’amour. » Même si les insultes étaient toujours là, il était plus doux dans ses gestes et ses actes. Il enfonça profondément son pénis dans mon gosier ouvert et se satisfit lui-même sans que je bouge, sinon la langue autour de son gland. Il aimait particulièrement quand j’aspirais son gros bout ou quand je m’occupais de ...
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