Niquée comme une chienne
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
Mature,
Auteur: billy2659, Source: xHamster
... toutou ! Maintenant, il faut que tu me grimpes sur le dos. Tu vas me mettre ton gros zizi dans la barquette. J’en ai trop envie, il faut que tu me niques. Vas-y, entre dans mon ventre !
Je sentis ses pattes velues qui se posaient sur mes épaules. Heureusement, j’étais solidement plantée sur mes avant-bras. Sa tête était proche de la mienne et je sentais son souffle déjà rauque dans mon cou. Brusquement, entre mes jambes, quelque chose de gros s’insinua. C’était le nœud phénoménal de Boris. Il poussait déjà sur mes chairs gorgées de sang, prêtes à s’ouvrir pour l’accueillir. Mes grandes lèvres humides s’écartèrent pour le laisser passer. Ca me faisait toujours un effet terrible quand il me pénétrait car son vit m’écartelait littéralement. C’était ce que j’appréciais par-dessus tout chez lui : la vigueur et le volume de sa verge.
– Oh que tu es gros Loulou ! Tu as encore forci de la bite. Tu me combles bien. Maintenant, bouge dans mon ventre, défonce-moi la moule en force ! Oui, comme ça, lime-moi la fente, bourre ta chienne !
Son manche coulissait en moi brutalement. Il soufflait de plus en plus derrière mes oreilles. J’avais vraiment le sentiment d’être sa petite chienne. Je le sentais, lourd, sur mon dos. J’avais un peu de mal à ne pas ployer sous son poids mais, en même temps, le fait de me sentir fragile sous son corps lourdaud ajoutait à mon excitation. A chaque fois qu’il butait au fond de mon vagin, il ...
... m’arrachait un jappement de plaisir. Son pénis prenait toute la place dans mon trou. J’étais bien ouverte et je participais à la pénétration en accompagnant le mouvement de ses hanches avec mes fesses.
– Ah, mon bon toutou, tu es fort ! Tu prends bien ta chiennasse ! Vas-y encore, encore, encore…
Ses cuisses claquaient contre mon cul. Il tenait fermement mes épaules par les mains pour me tirer contre lui et entrer toujours plus au fond de ma chatte. J’étais prête à jouir, mais je voulais attendre encore pour exploser en même temps que ses couilles se videraient. Ca ne tarda guère. Boris était trop échauffé par mon comportement pour pouvoir me limer bien longtemps. Mais ce n’était pas grave car j’étais moi-même au bord de la jouissance quand son gland cracha l’excès de foutre qui lui encombrait inutilement les testicules. En sentant son nœud qui se contractait avant l’explosion, je n’ai pas pu faire autrement que de le suivre et de crier moi aussi mon plaisir :
– Aaaaaaahhhhh ! Oui, crache ton jus de chien, dans ta femelle ! Mets-moi à fond, jute dans mon trou jusqu’à la dernière goutte. Détrempe-moi la chatte de ton sperme de clébard ! Oh, c’est trop bon comme tu m’inondes la moule…
Après ça, Boris est tombé à côté de moi et nous nous sommes reposés un peu. Sa queue est lentement sortie de ma vulve et pendant ce temps, j’essayais de m’imaginer prise par un vrai chien. Pourquoi pas Sisko, le berger allemand de Boris ?