1. Niquée comme une chienne


    Datte: 26/01/2019, Catégories: Mature, Auteur: billy2659, Source: xHamster

    ... vient travailler chez elle, juste pour donner le change à mes voisins. Puis, tout de suite après, je l’ai entraîné vers l’arrière de la maison. Là, je dispose d’un jardin entièrement à l’abri des regards indiscrets de mon entourage. J’avais envie qu’il me prenne en plein air mais ce n’était pas raisonnable. Je me connais bien et je sais que, quand il m’enfile à fond, j’ai beaucoup de mal à retenir les propos orduriers et les cris que Boris aime entendre. Il apprécie quand je le traite de tous les noms ou que je m’insulte moi-même en jouissant. Ca le fait triquer encore plus fort. Il devient alors très gros dans mon ventre et ça me fait beaucoup de bien. Alors, j’ai fait aménager une cabane de jardin qu’il a isolée pour l’insonoriser lui-même. Là, il peut me bourrer autant qu’il le souhaite car personne ne peut entendre mes cris de femme en rut.
    
    Aussitôt arrivés dans le cabanon, je l’ai mis à poil puis je me suis placée à quatre pattes sur le tapis et j’ai joué le rôle que je m’étais fixé pour cette séance.
    
    – Viens Loulou, viens renifler le cul de ta maîtresse avec ton museau. Viens sentir comme c’est bon ! Ca va t’exciter mon gros toutou.
    
    J’avais relevé ma jupe sur mes reins et je frétillais du cul pour l’aguicher. Je savais qu’il m’obéirait car il ne pouvait pas résister à ma croupe aussi indécemment tendue vers sa gueule. Il ne réfléchissait pas cent-sept ans avant d’agir. J’avais passé des bas auto-fixants sur mes jambes et je devais vraiment faire salope dans ...
    ... la position que j’avais adoptée. Pour bien lui montrer où je voulais en venir, j’insistai un peu :
    
    – Allez mon grand, je t’attends ! Viens me sentir le derrière, je suis toute chaude. Je mouille rien qu’à t’attendre. Viens maintenant, viens…
    
    Il ne se fit pas prier plus longtemps. Pour m’approcher, il était obligé de se mettre à quatre pattes lui aussi. J’avais tourné la tête vers lui pour le regarder approcher et je palpitais déjà d’envie en pensant à son visage qui viendrait me fouiller le sillon très bientôt. Il commença par me fourrer sa langue râpeuse dans la raie. Je pensais qu’il m’aurait mis la truffe d’abord, comme la dernière fois, mais il semblait pressé de passer aux choses sérieuses. Sa langue passa entre mes fesses. Je voulais qu’il me lèche le cul, bien sûr, mais pas seulement. Alors, j’ouvris au maximum l’écartement de mes cuisses pour lui permettre de passer la tête entre mes jambes et d’atteindre mon sexe.
    
    – Lèche ma chatte avec ta grosse langue, bois mon jus de chienne ! Je veux que tu me râpes la moule à grands coups pour bien me la préparer. Tu es un bon chien qui me fait du bien.
    
    Il obtempéra immédiatement. Je ne souhaitais pas qu’il fasse trop durer le plaisir. Aujourd’hui, je voulais jouir vite et bien. Foin de préliminaires interminables. Comme Boris était assez primaire, c’était facile de le manipuler pour en obtenir ce que je désirais. Il suffisait d’user des mots adéquats et de tirer sur la corde sensible.
    
    – C’est bien, tu es un bon ...