1. Avec mon patron


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Laurence, Source: Revebebe

    ... trempe.
    
    La différence de taille entre nous est énorme, je ne dépasse guère le mètre cinquante et lui avoisine les deux mètres. Les hommes très grands m’excitent, je ne sais trop pourquoi, serait-ce pour compenser ma petite taille ?
    
    René se lève et dégrafe son pantalon. Il est brun de chez brun et extrêmement poilu. Il me bascule sur le bureau et me prend ainsi, si je puis dire toute habillée. Je suis tellement excitée que je n’ai besoin d’aucun préliminaire.
    
    Mon patron est fort et puissant, il donne des coups de reins solides, brutaux, presque bestiaux. Mais à ce moment là, je n’ai pas besoin de beaucoup de tendresse, je suis entièrement soumise à la vitalité du mâle. C’est avec une sacrée santé qu’il me tourne et me retourne, il me prend dans plusieurs positions, puis il m’attire à lui pour que je m’embroche sur son grand fauteuil. Je suis complètement débridée, je vais et je viens sur mon tuteur, en faisant ballotter mes seins en tous seins, avant que la jouissance ne me submerge. Quand c’est son tour de venir, il me fait mettre à genoux sur la moquette et éjacule sur mon visage. La quantité de jus est impressionnante, elle s’écoule par saccades qui me remplissent de joie.
    
    — Ah, Laurence, qu’est-ce que t’es bonne !
    — Toi aussi t’es pas mal dans ton genre.
    — Ah putain, qu’est ce que c’est bon de te baiser.
    
    Avec le sperme qui coule partout sur ma figure, je dois avoir l’air de la parfaite salope. Je reprends mes esprits mais ne suis pas encore rassasiée. Je ...
    ... le reprends en bouche pour le remettre en condition.
    
    Le téléphone sonne, il me fait signe de me taire et, tandis qu’il parle à sa femme, moi, salope, je continue de le pomper.
    
    — Oui chérie…
    — …
    — Non pas tout de suite, j’ai un dossier à terminer.
    — …
    — Oh, je te promets mon amour, j’arrive dès que possible.
    — …
    — Moi aussi j’ai envie de toi… mais ne m’attends pas pour dîner.
    — …
    — Moi aussi, je t’adore.
    
    Lui, le gros macho, il se fait mener par le bout du nez par cette pouffiasse au bout du fil. Elle va voir ce qu’elle va voir, je vais commencer par lui vider les couilles à son homme.
    
    Cette fois-ci, je me déshabille entièrement et entreprends de dépoitrailler mon boss. Il a le torse très velu, je lui grignote les tétons.
    
    Allez mon grand dadais, à ton tour de t’occuper de ma poitrine et de ma petite chatte. Je me débrouille pour lui faire part de mes envies d’être soumise à ses caresses. Question jeux de bouche, il se débrouille plutôt bien et me met rapidement dans tous les états. À nouveau la jouissance s’empare de moi et, si ce n’était que moi, nous pourrions presque en arrêter là. De son côté, hors de question, il bande comme un âne et j’ai de nouveau droit à une bonne saillie patronale qui n’est pas pour me déplaire.
    
    — Alors, est-ce que je suis embauchée ? lui dis-je en ramassant mes affaires.
    — De suite et sans restriction.
    — J’espère que j’aurais droit à un bon salaire. (Sur ce point je ne me fais guère d’illusions, je sais qu’il ne faut pas ...