Avec mon patron - Histoires de Sexe

Avec mon patron

... s’exhiber au restaurant, de retirer sa culotte et son soutien-gorge pour montrer ses charmes. Le serveur la regarde et les autres clients aussi…
— Fichtre. Et toi tu aimes ce genre de situation ?
— Oui, je trouve ça excitant.
— Je ne te savais pas aussi coquine.
— On ne se connaît pas vraiment.
— Et ensuite que se passe-t-il ?
— Ensuite, elle doit bien écarter les cuisses et montrer sa petite touffe aux gens d’en face, des représentants qui ne se gênent pas pour la mater… Et ensuite tu es arrivé, alors je ne sais pas.
— Qu’est-ce qui te plaît dans ces fantasmes ?
— J’aime exciter les hommes.
— Oula, chaud, chaud.

Je regarde sa braguette, j’ai l’impression qu’il bande déjà un peu. Evidemment, il s’en aperçoit. C’est le moment où jamais :

— Et toi René, tu aimes quoi en amour ?
— Plein de choses, en particulier les petites coquines comme toi.

Il est tout près de moi, je pose ma main sur sa braguette et baisse la fermeture éclair.

— Ça te dirait de me faire goûter à ça ?

Il ne dit rien, mais se laisse faire. J’extrais un sexe de belle taille, mais encore un peu mou.

— Humm ça m’a l’air bien appétissant.

Je l’attire à moi et commence à le sucer. Il prend vite de la vigueur.

— Oh putain, quelle bonne pompeuse tu fais. Tu as l’air d’aimer la bite.
— J’adore ça, surtout les belles, bien grosses comme la tienne.
— Humm, qu’est-ce que c’est bon !

Bien sûr que j’aime, gros bêta, tu verrais tout ce que j’aime, tu en serais même étonné. J’aime ...

... jouer du pipeau avec la bite d’un mec, j’aime faire durcir ses envies.

Lorsqu’il est bien raide et bien fier, je lui formule ma demande :

— J’aimerais que tu me baises sur ton grand bureau, depuis le jour de mon embauche, je rêve de me faire prendre là.
— Ah, gourgandine ! Pourquoi tu ne me l’as pas demandé plus tôt ? Ecoute, je veux bien mais, avant de me rejoindre, je veux que tu fasses comme cette fille au restaurant.

Bien chef, selon votre bon plaisir. J’enlève culotte et soutien-gorge, défais les boutons de mon chemisier. La jupe est un peu longue, mais je m’arrange pour la raccourcir en la rabattant. Un coup de maquillage, un nuage de parfum, et me voici fin prête à jouer la petite salope pour mon divin patron.

Je le rejoins dans son bureau, il est assis dans son grand fauteuil :

— Voyons çà. Humm pas mal du tout. Tu as de beaux nichons !

Un peu petits sans doute mais pointus et bien galbés. Je viens m’asseoir de son côté et m’arrange pour qu’il voie aussi bien ma chatte.

— Alors qu’en pensez-vous monsieur ? Je conviens ? Je fais l’affaire ?
— D’après ce que je vois, c’est très prometteur.
— Voulez-vous me prendre à l’essai ? Je n’ai aucun diplôme, mais beaucoup d’expérience dans beaucoup de domaines.
— Je n’en doute pas un seul instant. Humm et vous présentez bien, quelle belle chatte !

Il tend le bras et passe entre mes cuisses. Sa main glisse sur ma toison. Je suis électrique et volcanique. Je n’ai pas besoin de ça pour être complètement ...