1. Le Grand Bazar


    Datte: 25/01/2019, Catégories: grp, Collègues / Travail magasin, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, uro, fouetfesse, Humour contes, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... Justement.
    — Tout cela est bien joli, mais ça ne me dit pas pourquoi tu donnes de l’argent en douce au personnel.
    — Jacquot est un type étonnant, côté Bourse.
    — Je t’en prie ! Un peu de décence au moins une fois dans la journée !
    — Non, ce n’est pas cela. Figure-toi qu’il place un peu d’argent en Bourse et il nous fait gagner des sommes intéressantes. Il suffit de jeter un œil au portefeuille que nous avons désormais : rien que des actions en hausse dans tous les secteurs. Ne serait-ce que pour ce mois, plus de 12 000 euros.
    — Et bien sûr, je ne suis au courant de rien.
    — On voulait te faire une surprise pour les 15 ans de la maison, le 6 avril prochain.
    — Mais pourquoi tant de cachotteries ?
    — La Bourse n’a jamais été ta préoccupation ; tu négliges même tes bourses… Et nous, nous avions besoin d’actions…
    
    Monsieur Justin avait le sentiment d’être décidément très vieux. Vieux jeu comme on dit. Il sortit tristement de son bureau, le dos voûté, la tête basse, la queue entre les jambes, comme une petite virgule dans une oraison funèbre. Louise le suivit. Puis elle le précéda dans les allées du magasin. Et elle ...
    ... enleva son chemisier qui vola sur un lustre en cuivre, puis sa jupe finit un peu plus loin dans une soupière, son soutif s’accrocha à un balai de chiottes et sa culotte finit dans un bocal à poissons rouges. Puis elle attira d’une main ferme son mari sur la caisse et elle lui fit l’amour avec une telle frénésie que le Justin en perdit les pédales. Il hurlait de surprise et de joie, comme une fillette qui atteint son premier orgasme. Il éjacula avec une énergie qu’il n’avait jamais imaginée. Louise en sueur le regarda fièrement et elle lui dit :
    
    — C’est bien, Roland, mais ce n’est qu’une étape de franchie. Maintenant pour te libérer complètement de tant d’années perdues dans la tristesse fétide d’une sexualité honteuse, tu vas pisser sur moi.
    
    Monsieur Justin se crut proche de la crise cardiaque. Mais il obtempéra après de longues minutes d’hésitation et de rétention. L’urine jaillit sur le corps nu de Louise, éclaboussa les tabourets de cuisine et s’écoula sous les machines à coudre. Le tout sous les applaudissements du personnel au grand complet, qui avait tenu à être présent malgré l’heure avancée de la nuit. 
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