Le Grand Bazar
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
grp,
Collègues / Travail
magasin,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
fsodo,
uro,
fouetfesse,
Humour
contes,
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
... c’est le Grand Foutoir ! Et bien sûr, personne ne s’approchait de la caisse. Or, c’était la seule chose qui intéressait Monsieur Justin.
À 19 heures, on ferme et les employés ont encore une heure de présence à assurer pour réorganiser le magasin et enregistrer les commandes. En général, c’est sa femme qui supervise le travail pendant que lui est pris par la comptabilité. Tout semble normal jusqu’au moment où il découvre sa femme cul nu, qui se fait fouetter dans la remise par le Jacquot. Il avait pris un martinet dans l’étalage, on voyait encore le prix sur le manche. Pourquoi se gêner ? Elle se retourna un moment pour se jeter sur le pantalon de son dominateur et lui prodiguer une fellation comme son mari n’en avait jamais bénéficié. Gorge profonde !
Le zoom fut la seule satisfaction de sa journée. Il put ainsi voir le sperme déborder de la bouche vorace et couler sur les seins flagellés. À moitié en érection, les yeux exorbités, Monsieur Justin se dit qu’il était le seul être à peu près normal dans cette entreprise. Mais il découvrit aussi le pot aux roses. Louise prenait dans la caisse 50 euros pour les donner au Jacquot. La messe était dite. Volé, bafoué et trompé par sa femme, le patron aurait eu un revolver dans son bureau qu’il se serait vraisemblablement fait justice comme on dit. Mais le pistolet qu’il avait à portée de main servait juste à allumer les cigarettes, un gadget chinois.
Le soir, il s’allongea sur le lit tout habillé. Louise vint à son tour. ...
... Et la conversation prit le tour suivant :
— Louise, je sais tout.
— Je sais.
— Quoi ?
— Je sais que tu sais.
— Tu oses me narguer !
— Tu veux me larguer ?
— Comment as-tu pu…
— Écoute, nous avons une certaine complicité avec le personnel.
— Je m’en suis aperçu, merci !
— Or, nous avons appris que tu avais monté tout un système pour nous espionner.
— Non, je voulais juste savoir qui piquait dans la caisse.
— Alors pourquoi autant de caméras dans tous les coins ?
— C’est quasiment le même prix pour une caméra que pour plusieurs. C’est le système qui coûte cher.
— Peu importe. Nous avons voulu te jouer un tour.
— Qu’es-tu en train de me raconter comme mensonges ?
— Pas du tout. J’ai réuni tout le monde et j’ai imaginé le scénario. José était ravi, bien sûr. Silvia voulait vraiment vérifier ses dires sur les dimensions de son zob. Ils y sont allés de bon cœur.
— C’est le moins qu’on puisse dire !
— Brigitte et Antoine ont toujours eu le béguin l’un pour l’autre, sans jamais oser. Je les ai convaincus, mais Brigitte avait très peur de tomber enceinte. D’un autre côté, elle avait le fantasme de la sodomie, pratique que son mari trouve dégradante. Nous avons donc arrangé leurs affaires.
— Et toi ! ?
— Moi, j’adore la soumission et tu ne t’en es jamais aperçu. J’aime, en tant que femme du patron, me faire traiter de tous les noms, me retrouver à genoux, sucer une bite un peu sale parfois…
— C’est vrai que moi, je me lave toujours avant de faire l’amour.
— ...