1. Témoignage d’une maman perverse


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... l’engrenage a commencé.
    
    Les semaines suivantes, j’ai pris l’habitude de lui proposer de regarder avec moi des vidéos de sexe sur notre télévision, assis côte à côte sur le canapé. Ou bien, nous imprimons un texte érotique comme, par exemple, l’un des vôtres, et nous le lisons ensemble. J’aime bien qu’il les prononce à haute voix, en répétant les paragraphes les plus émoustillants, comme lorsque l’Amazone se fait bouffer par un rat après avoir été longuement torturée par le narrateur. Je préfère qu’il soit complètement nu pour cela, ou à la rigueur, qu’il garde ses chaussettes s’il a froid aux pieds. Je lui agite la tige en la serrant à pleine main, comme il m’a montré, mais souvent, il préfère se branler lui-même et je lui chatouille les bourses en même temps. Il est un éjaculateur impressionnant, capable de venir au minimum cinq ou six fois dans la journée, avec à chaque fois deux ou trois bonnes giclées blanches comme du lait, qui maculent le tissu de longes traînées. Nous vivons dans un foutoir qui sent le fauve à plein nez. Il arrive quelquefois que je lui tende un verre afin de recueillir son nectar masculin que je bois pur ou bien mélangé à un peu de vodka. Lorsqu’après avoir trop donné, il commence à fatiguer et qu’il bande moins bien, je lui demande de relever les cuisses afin d’accéder à son orifice anal ; j’y introduis un doigt lubrifié de salive et je lui masse longuement la prostate. À chaque fois, sa verge se redresse. Il adore ce geste.
    
    Pour la fête des ...
    ... Mères, il m’a offert un gode-ceinture, long, épais, rose fluo, pour que je le sodomise pendant qu’il se malaxe le pénis. Il me le réclame sans cesse, quitte à se mettre à genoux, tout nu, et me bécoter les orteils pour que j’accepte de l’empaler sur ma tige de plastique. Cela me trouble tant que j’accepte à chaque fois – oh, que je me sens coupable de céder ! Parfois, je suis si excitée que je relève ma jupe, et je fourre mes doigts sous ma culotte, lorsque j’en porte une, pour rouler mon clito sous mon majeur, pendant que Quentin lèche mes pieds avec application. Il me demande d’éviter de me laver pour que mes odeurs, qu’il adore, soient plus puissantes. Scribouillard, il faut que vous sachiez que depuis mon adolescence, sous l’effet de la masturbation comme d’un rapport sexuel, je suis une femme fontaine : je gicle des geysers de mouille que Quentin lape dévotement sur la moquette, en essayant de ne pas en perdre une seule goutte.
    
    Pendant les repas dans la cuisine, il lui arrive de se mettre à quatre pattes pour me brouter le minou, en fourrant sa langue aussi loin qu’il peut dans mon vagin – oui, celui-là même par lequel il a vu le jour, et je le laisse agir non seulement sans protester, mais en l’encourageant en plaquant sa tête contre ma vulve toute poilue avec ma main, voire en serrant les cuisses pour qu’il ne puisse pas se dégager, au cas improbable où il voudrait me refuser l’orgasme ! Oh, comme je suis une mauvaise maman, pour accompagner mon fils sur le chemin de ...