Témoignage d’une maman perverse
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Anal
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
Il y a quelques jours, j’ai reçu ce message d’une femme sur ma messagerie XHamster :
Bonjour Scribouillard,
Je ne sais pas qui vous êtes, mais les textes que vous écrivez m’excitent particulièrement, surtout les plus pervers et les plus intenses, comme « Les bûcheronnes ».
Il se trouve que j’ai un fils de dix-huit ans prénommé Quentin (1) – j’en ai moi-même vingt de plus. Lorsque son père a brutalement quitté la maison afin de rejoindre sa maitresse, j’en ai beaucoup souffert, mais Quentin, bien plus encore.. J’ai découvert qu’il passait le plus clair de son temps à se masturber en regardant des vidéos pornographiques, au lieu de faire ses devoirs de lycée : pas étonnant qu’il ait de mauvaises notes ! Vous me direz que c’est là une chose qui est naturelle et bien de son âge, mais il a développé une vraie addiction à ces images. Il faut dire que moi-même, également, seule dans mon lit devenu trop grand… bref ! Telle mère, tel fils.
Un matin, je me suis introduite discrètement dans sa chambre alors qu’il procédait à son activité habituelle, affalé sur sa chaise et braguette ouverte, je me suis assise à côté de lui et je lui ai tendrement caressé la main qui empoignait sa verge, pour l’encourager à poursuivre son geste indécent. J’avais très peur qu’il s’enfuie, ou bien se mette en colère. Il a visiblement rougi, mais il s’est laissé faire. Je lui ai souri, pour le mettre en confiance. Sur l’écran, un couple de jolies lesbiennes de Sapphic Erotica s’en donnait à cœur ...
... joie, à petits coups de langues sur des pubis parfaitement glabres, ce qui ne me laissait pas, non plus, indifférente : je mouillais dans ma culotte autant que Quentin suintait de rosée du désir. Il m’a montré la séquence qu’il préférait, lorsqu’une jeune blonde qui devait avoir son âge jouissait à petits cris, sous l’effet du cunnilinctus de la brunette ; l’ébat lesbien avait lieu en plein air.
Il se touchait lentement, sans trop serrer, pour faire durer la volupté. Lorsqu’il a finalement éjaculé, j’ai été surprise par l’abondance de sa semence : une véritable fontaine à « foutre » qui, en petits jets successifs, n’arrêtait pas de m’arroser la main ! À l’oreille, il m’a juste dit : Merci, Maman. Je me suis sentie terriblement coupable d’être intervenue dans son moment d’intimité personnelle, mais en même temps, l’excitation sexuelle me tournait la tête. Je me suis léché les doigts pour me délecter de ce sperme filial salé, chaud et velouté à souhait. Puis je me suis précipitée dans ma chambre afin de m’adonner au plaisir solitaire au moyen de mon vibromasseur qui a fonctionné à plein régime. Je rêvais que Quentin vienne me rejoindre sans tarder. Il m’aurait très tendrement sucé la chatte, à la place de cet objet performant, mais froid et sans âme. Mais je suis restée seule avec mes fantasmes et le souvenir du geste tabou que je venais d’accomplir. J’ai pleuré et mes larmes se sont mêlées aux quelques gouttes de semence qui restaient sur mes mains maternelles. Ce jour-là, ...