Un cadavre dans le placard
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
fh,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Humour
policier,
Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... pas remarqué son odeur, ou plus exactement son parfum. Une fragrance subtile faite d’un mélange d’épices et de tabac. Ça me donne la chair de poule. Toute la situation me hérisse les poils, mais plus particulièrement cette promiscuité avec ce vieil Anglais.
Les choses semblent évoluer d’une manière coquine ou amoureuse dans le salon, derrière la fenêtre. Cette fois, je vois enfin les traits de la belle. Elle s’est agenouillée devant le canapé sur le sol. Donc sa frimousse est là où ses gambettes se tenaient, il y a encore quelques instants. J’entends un drôle de clic sur ma gauche. Je tourne les yeux vers mon compagnon d’aventure et il a un appareil photo dans la main. Il prend des clichés. À l’intérieur, la femme avance les mains vers le type debout devant elle.
Et ce qui suit est digne d’un porno bon chic bon genre. Elle a sorti un chibre du pantalon de celui qui est avec elle. Je vois comme hallucinée sa bouche qui s’approche de cette chose rose, encore à demi molle. La hampe de l’engin disparaît entre deux mâchoires voraces. Ensuite les mouvements du cou de la belle sont sans équivoque. Et l’effet que ça me fait est lui aussi quasi instantané. Je suis cinglée, ma parole. Mais mon corps, lui, réagit à la vision de ces deux êtres qui se tripotent, qui se connaissent, se reconnaissent, s’allient pour se mélanger.
Les mains du gaillard sont sur l’arrière du crâne de la femme et elles poussent l’ensemble de la tête contre le ventre du bonhomme. Bien entendu, ...
... j’imagine que ça doit être doux, bon, et je suis certaine que cette salope apprécie hautement cette fellation qu’elle pratique sur le mâle qui ne veut plus qu’elle le lâche. Le mec s’arc-boute, se déhanche alors qu’il donne des oscillations d’avant en arrière, forçant cette bouche qui engloutit son sexe maintenant d’une belle taille et raide comme un pieu. C’est là que je sens la main de Georges qui est sur mon épaule.
Depuis combien de temps est-elle placée là ? Aucune idée ! Je sais seulement que d’un coup, elle me chauffe terriblement tout partout. Mais ma caboche se pose encore des questions. C’est la main anglaise qui me donne des chaleurs ou le spectacle de ces deux qui font l’amour ? Car depuis une minute ou deux c’est mon lascar qui lèche l’entrecuisse de la dame sur son sofa. Et c’est exactement comme si cette langue qui frôle les muqueuses de la miss courait sur les miennes.
Je frémis, je tremble devant le spectacle excitant de ce couple qui va baiser. La main du flic est maintenant passée de mon épaule à mes reins et je n’interviens pas. Mais il se tourne vers moi.
— Alors ? Vous les avez reconnus ? Tous les deux ?
Cette demande alors que je suis à cent lieues de cela, vient perturber le bon ordre de mes hormones femelles. Je me sens délaissée, trahie par ces phrases hors contexte pour moi. Et ça casse le charme, je redescends de mon petit nuage. Sa patte n’est pas venue pour me caresser, mais simplement en soutien alors que Georges mitraille les amants. Lui ...