L'achat
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... soumise. Celle-ci ouvre la bouche, cherchant à me boire. Ce n’est pas le but que je recherche, mais je ne dis rien. Je veux souiller ce fier visage, je veux qu’il dégouline de foutre, de mon foutre, qu’elle soit mon objet, ma chose, car tel est mon plaisir.
Elle reste immobile sous les giclées qui s’enchaînent les unes après les autres, vigoureuses, puissantes, visqueuses. Son visage est maculé, poisseux ; de longues traînées s’écoulent le long de son cou, s’aplatissant ensuite sur sa poitrine et ses vêtements.
Jusqu’à ce que je sois tari, mais victorieux, exigeant qu’elle reste souillée ainsi jusqu’au soir.
Alors qu’il faisait preuve d’un indéniable activisme pour repousser encore plus loin les limites de l’Empire, ayant à nouveau des ailes, aidé par une harmonie retrouvée dans son foyer, mon fils a été victime d’un attentat qui a anéanti les locaux de son club, faisant en même temps une vingtaine de morts, parmi lesquels divers grands noms. Oliver a été décoré à titre posthume. Ce fut une belle cérémonie à la fois émouvante et guindée, avec une foule venue par curiosité et par chauvinisme admirer les glorieux morts au nom de notre Empire éternel, mais finalement si fragile. Quel gâchis !
Le jour de l’enterrement privé de mon fils, il pleut, comme il pleut en moi. Que tout ceci est stupide ! Juste au moment où ça s’arrangeait pour lui et sa femme, son couple était à nouveau uni et heureux. Décidément, Dieu là-haut, doit avoir un étrange sens de ...
... l’humour.
Après ce triste jour, j’ai décidé de quitter mon pays natal et d’aller me réfugier au loin, par-delà les mers, sur une île grecque éloignée du tumulte du monde. J’ai souhaité retourner aux sources de notre civilisation, côtoyer la terre ancestrale des statues que j’admire tant depuis mon enfance. J’ai proposé à ma bru de nous accompagner, elle et ses enfants, mais elle a préféré rester. J’ai respecté son choix.
Pendant tout ce temps, le soutien sans faille de Miss Gladys m’a été d’un grand secours. C’est elle qui m’a fait reprendre des couleurs, fait voir que la vie peut être finalement plus forte. De plus, je reprends goût à nos petits jeux, mais de façon plus légère. Je suis lassé de ce sadomasochisme pur et dur, j’aspire à autre chose, plus aérien, plus subtil. Et il me semble bien que ma collaboratrice et maîtresse soit du même avis que moi. Sinon, elle m’aurait quitté. Et je ne pense pas qu’elle soit restée avec moi par pure charité.
Quand je suis arrivé en Grèce, j’ai décidé de ne pas cacher la situation : Miss Gladys est, au vu et au su de tous, la maîtresse de maison, et ma maîtresse tout court. Même si elle n’est pas d’accord, arguant notre différence sociale, j’envisage de l’épouser, pas pour une question de réputation, ce dont je me contrefiche, mais surtout pour lui garantir quelque chose si je venais à mourir subitement ; je ne tiens pas à ce que pareille femme retombe dans les bas-fonds. En attendant, j’ai rédigé un testament afin de ne pas la léser. Souvent, ...