L'achat
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Après un certain flottement, je la serre :
— Pacte conclu. Je vous en envoie Oliver.
— Je m’en occupe, mon cher beau-père.
— Je n’en doute point, ma chère belle-fille.
Puis je quitte la pièce pour aller chercher mon fils. Quelque part, je le plains, j’espère qu’il se montrera à la hauteur de nos attentes. Mais c’est lui qui a joué avec le feu en s’amourachant de sa danseuse. S’il avait gardé sa petite couturière, je pense qu’il n’aurait pas eu de problème. En parlant de cette dernière, d’après mes sources, elle et son amant de peintre filaient le parfait amour. Tant mieux pour eux. Et tant pis pour mon crétin de fils !
J’ouvre la porte du fiacre. Oliver me dévisage avec anxiété. Je lui dis simplement :
— Elle t’attend, mais il va falloir mettre du tien. Elle va mettre un certain temps avant d’oublier.
— Merci, Père.
— Un conseil, agis avec elle comme au début que tu l’as connue.
— Mais elle ne veut pas ! Elle dit que ce n’est plus de notre âge !
— Fais comme si de rien n’était, agis comme avant. Et persévère. Imagine qu’elle soit une nouvelle danseuse à conquérir.
Mon fils me regarde étrangement, puis il sort du fiacre, me lance un rapide « merci pour tout » avant de s’engouffrer en courant dans sa demeure. Je repars chez moi. Maintenant c’est à eux de résoudre leurs différends. Moi, je reviens vers Miss Gladys.
De retour chez moi, j’explique à ma collaboratrice ma visite auprès de la bru, sans oublier le moindre détail, ma mémoire étant encore très ...
... bonne. Miss Gladys reste silencieuse un moment puis déclare :
— Décidément, vous êtes doué pour les situations un peu étranges…
— Vous faites allusion à la proposition de ma bru ?
— Exactement, Sir Andrew. Vous avez un certain succès auprès de la gent féminine.
— Arrêtez de vous moquer de moi, Miss Gladys…
— Je ne me moque pas de vous. Pourquoi croyez-vous que je sois ici, à vos côtés ?
— Vous cherchiez un Maître, m’avez-vous dit.
— Je crois que vous êtes un peu plus qu’un Maître, Sir Andrew.
Je la regarde, elle n’a pas tort. Je lui réponds :
— Vous avez raison, et pour ma part, vous êtes plus qu’une simple collaboratrice…
— Heureuse de l’entendre dire.
— Ce n’est pas la première fois que je vous le dis.
— C’est vrai, Sir Andrew.
Je m’assieds dans le sofa. Puis la regardant me surplomber, je poursuis :
— Les choses sont mal faites, Miss Gladys, très mal faites. Je ne renie pas ma femme, que Dieu ait son âme, mais j’aurais aimé vous rencontrer avant.
— Sauf votre respect, Sir Andrew, notre différence de statut social aurait de toute façon empêché cette rencontre d’aller plus loin.
— Une fois de plus, vous avez raison, vous êtes trop lucide, mais avec des « si », on refait le monde. Néanmoins, même si ce fut tardif, je suis très heureux de vous avoir rencontrée.
Elle ne répond pas. Un long silence s’installe. C’est elle qui le rompt :
— Qu’allez-vous faire concernant votre bru, Sir Andrew ?
— Que ces deux-là se débrouillent ! Je pense qu’ils ont ...