Me voilà dans un BTS coiffure (4) - Histoires de Sexe

Me voilà dans un BTS coiffure (4)

... train de faire. Pour l’instant j’étais en train de donner beaucoup de plaisir à belle-maman et la réciprocité était parfaite. Maintenant elle me traitait de tous les noms, mais surtout elle parlait de moi au féminin, avec des injures typiquement féminines ; cela m’excitait.

— Allez ma cochonne, maintenant donne du plaisir à la maman.

— Continue petite salope, tu vas me faire jouir.

— Tant que tu feras jouir la mère et la fille, nous ferons de toi un étalon heureux.

Pendant que la maman me parlait, elle contractait son vagin à chaque fois qu’elle redescendait sur mon sexe. Pendant que la maman profitait de mon sexe, ma chérie continuait à m’exciter les petites fesses, à ce rythme-là je savais que je ne pourrais pas tenir longtemps. Juste avec son regard Marie m’excitait, elle se mettait deux ou trois doigts dans la bouche pour me les donner ensuite à sucer, c’était d’un érotisme torride. J’ai finalement fini par éjaculer dans ses entrailles, compte tenu de l’excitation, je pense lui avoir déposé énormément de liqueur. Bien évidemment la maman a pris son pied presque en même temps que moi, il n’y a pas à dire, nos deux corps étaient faits pour se donner du plaisir. Le plus beau c’est que quand Coralie a constaté que tous les deux étions en train de jouir, elle est venue m’embrasser avec passion, elle avait l’air satisfaite de moi.

— C’est bien mon chéri, tu as réussi à faire jouir ma mère.

— Cela faisait plusieurs années que maman n’avait pas pris son ...

... pied.

— Maman a vécu une grosse déception amoureuse et cela faisait plusieurs années qu’elle n’avait pas vu le loup.

C’est vrai qu’avec le recul, la maman avait l’air vraiment déchaînée sur mon sexe, quel rôle allais-je jouer au sein de cette famille. Marie est restée encore de longues minutes, empalée sur mon sexe à monter et descendre. Dire que la semaine prochaine, j’allais avoir affaire à la directrice des études, je ne savais vraiment pas comment elle allait pouvoir rester discrète après ce que nous étions en train de vivre. Maintenant j’essayais d’inverser les rythmes que nous puissions limiter la douleur qui naissait après la jouissance. En fait quand Marie remontait, je donnais un coup de reins, qui redescendait quand elle faisait de même. Je n’en pouvais plus et j’ai invité sa maman à se retirer, une fois mon sexe libéré, Coralie s’est jetée sur lui pour m’en faire la toilette. Cela me faisait tout drôle de voir la fille en train de se délecter de la cyprine de sa mère avec par-dessus ma liqueur de gland. Il n’y a pas à dire la maman et la fille étaient vraiment très complices.

Marie était allongée sur le lit et elle était en train de reprendre ses esprits, de son côté Coralie poussait maintenant le vice en allant me donner des coups de langue sur mon issue de secours. Je tressaillais dans tous les sens de plaisir, pendant que Coralie avait du mal à me tenir les cuisses. Quand je me suis mis à pousser de grands cris, c’est la maman qui est venue se dévouer pour me ...