1. Me voilà dans un BTS coiffure (4)


    Datte: 24/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... secours. Elle était maintenant en train de se masturber, de se caresser, de s’exciter juste avec mon sexe partout entre les deux gros orteils.
    
    — Tu sais Franck, cela fait plusieurs années que je n’ai pas tenu un sexe dans les mains.
    
    — Mais en avoir un si beau, je n’en aurai jamais rêvé.
    
    Maintenant, à chaque fois qu’elle se pénétrait le vagin avec mon sexe, elle le rentrait toujours un peu plus. Il n’allait pas falloir que ses préliminaires durent trop longtemps, car je n’étais pas sûr de pouvoir tenir. À ma grande surprise, c’est Coralie qui s’est approchée pour glisser sa main sous la robe de sa mère, afin de saisir mon sexe et le positionner bien à l’entrée du vagin de sa mère. Je pense qu’au niveau complicité mère et fille, on ne pouvait pas faire mieux. Ma chérie n’a pas eu besoin de dire à sa mère de se laisser descendre, elle s’en est rendu compte toute seule. J’étais maintenant en train de pénétrer notre directrice des études, et en même temps je m’étais mis à lui caresser la poitrine à travers sa douce robe. La pointe de ses tétons était érigée et sensible, il n’y a pas à dire, Marie aimait être sollicitée au niveau de la poitrine. C’est vrai que les mœurs de cette famille étaient assez particulières, mais finalement je m’y faisais rapidement.
    
    — C’est bien mon chéri, tu es en train de pénétrer ta future belle-mère.
    
    C’était la deuxième femme de ma vie que je pénétrai, et le plus beau c’est que c’était la mère de la première.
    
    Je me suis rapidement ...
    ... trouvé entièrement en Marie, au premier abord, elle avait un vagin légèrement plus large que celui de sa fille.
    
    — Tu sais que ma fille avait raison, tu es vraiment un bon coup.
    
    — Ton sexe est vraiment de belle taille et surtout rigide.
    
    — Ce qui me fait plaisir, c’est que ma fille accepte de te partager avec moi.
    
    — Nous allons faire de toi notre étalon soumis et obéissant.
    
    Pendant que belle-maman me parlait, je donnais des coups de reins, pour essayer d’aller le plus loin en elle, et lui donner le plus de sensations possible. De son côté elle se remontait de dix centimètres, pour ensuite se laisser retomber lentement. Maintenant nous réussissions à conjuguer nos efforts pour nous donner mutuellement le plus de plaisir possible. De son côté, je découvrais une Coralie de plus en plus dévergondée, m’embrassant de temps à autre, mais qui allait aussi me caresser l’entre fesses.
    
    Marie devait avoir quarante-six ou quarante-huit ans et elle avait une poitrine d’adolescente, je me faisais un plaisir à lui caresser, à lui masser, à lui exciter. Ces deux femmes avaient réussi à me mettre à l’aise, c’est ainsi que maintenant j’étais en train de faire l’amour à la mère de ma copine, alors que j’étais vêtu d’un bustier très féminin, d’un collant fendu et d’une culotte appartenant à la mère. Si mes copains de classe m’avaient vu ainsi, je ne sais pas ce qu’ils auraient pensé de moi. Se seraient-ils moqués de moi pour ma tenue ou m’auraient-ils envié pour ce que j’étais en ...
«1234...»