Sans tort et cent reproches
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
fh,
bizarre,
délire,
Humour
aventure,
sorcelleri,
merveille,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... sorte de toge et Aurélie l’avait porté jusqu’à la voiture pendant qu’Estelle et moi courions à côté d’eux en trimbalant nos affaires. On ne croisa heureusement personne le temps de parvenir à la bagnole, mais s’y installer ne fut pas la moindre des peines. Je m’y engouffrai en me déhanchant de partout et me laissai choir sur le côté, occupant toute la banquette arrière dans une position extrêmement inconfortable, et Aurélie se démena pour caser encore plus ou moins sur mon dos le demi-corps du pauvre Peter. Elle prit ensuite le volant tandis qu’Estelle dépliait une carte plus ou moins précise de l’île.
C’est assez difficile de décrire la tronche que fit Alfonso lorsqu’il nous vit sortir de la bagnole sur la piste de l’aérodrome de Port-de-Paix. Nous étions parvenus à convaincre Peter de le rappeler pour qu’il nous ramène au moins jusqu’à notre île où nous serions tranquilles pour tenter de ressortir ce génie de Kraçou, et le pilote avait accepté, mais seulement pour le double du prix du voyage aller. Il fallut finalement encore doubler le tarif et une bonne heure de discussion avant qu’il consente à nous reprendre à son bord dans notre état. Je fis de mon mieux pour me retenir de gerber et supporter les contorsions que m’imposait l’étroitesse du cockpit. Peter dormit, le nez entre mes seins et Estelle et Aurélie somnolèrent sur l’une ou l’autre de mes nombreuses cuisses.
Nous atterrîmes tard dans la soirée, et ce n’était pas plus mal. On prit congé d’Alfonso, qui ne ...
... cessait de rire nerveusement dès qu’il me regardait, et on ne croisa que peu de monde, heureusement, jusqu’au port ; à chaque fois, mes compagnons se serraient autour de moi pour me cacher au mieux. On se précipita finalement tous les quatre dans la cabine de notre bateau, mettant le cap au plus vite sur notre petite île, même si ça n’amusait pas franchement Aurélie de naviguer de nuit.
***
— Mate ça, j’ai une gaule du diable !
J’achevai d’ôter les diverses fringues dont je m’étais couvert. Estelle se pencha pour constater mon érection entre mes deux cuisses de derrière. Elle se saisit de ma queue en me caressant les fesses et me branla doucement.
— Hmmm… et tu as une très belle queue ! Ça m’excite drôlement…
Moi pas vraiment. Ses caresses étaient agréables, mais je crois que c’était plutôt une sorte d’érection réflexe.
— Moi c’est plutôt le reste de ton corps, qui m’excite.
C’était Aurélie qui revenait dans le salon. Elle me roula une grosse pelle en refermant ses mains sur ma poitrine.
— Ça y est, tu l’as couché ? demanda Estelle sans cesser de me masturber.
— Oui, et il était complètement torché.
— En même temps, avec tout ce qu’il a descendu sur le bateau.
Peter avait passé sa colère et sa détresse sur un flacon de whisky.
— Bon, on va pouvoir faire ressortir l’autre teigneux de sa bouteille, proposai-je.
— Oh non ! Pas tout de suite !
— Attends un peu !
Hébété, je les regardai, l’une après l’autre. Elles souriaient, malicieuses. Les ...