1. Une chance de cocu 11


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... pourrait même pas appeler au secours en cas d'agression ? Ca ne se fait pas.
    
    Dans la cabine j'ai monté la température. Elle n'enlève pas son voile. Je risque de m'endormir quand il fait trop chaud. La muette bouge, tire sur le tissu de l'ensemble noir et expose enfin la peau blanche de ses genoux. Je reluque, elle le remarque, maintient cependant à l'air le début d'une cuisse grassouillette.
    
    - Vous avez trop chaud ? Ouvrez une vitre.
    
    Je n'ose pas lui demander d'alléger sa tenue.Elle fait non. Ca veut dire "pas chaud " ou "pas ouvrir" ?
    
    J'essaie autre chose:
    
    - Vous allez rejoindre un membre de votre famille?
    
    Pas de réponse. J'insiste :
    
    Vous avez un copain, un ami, un mari ?
    
    Elle écrit :
    
    - J'aimerais bien. Ca me manque. Et vous ?
    
    Cette fois je suis surpris par la longueur du texte et par sa signification.
    
    - A moi aussi ça me manque.
    
    Et j'ajoute spontanément
    
    Je comptais rencontrer aujourd'hui une compagnie moins sévère et...
    
    - Ah ! Déçu ? Ma tenue ?
    
    - Effectivement. J'aime voir le visage des gens auwquels je parle. Pas vous ?
    
    La tête fait oui.... La nuit tombe, je suis en avance sur ma feuille de route. Rnfin un stationnement pour poids lourds. Nous passerons la nuit ici
    
    - Je dors sur ma couchette. Voulez-vous que je vous dépose ?
    
    Elle écrit :
    
    - Je peux dormir sur mon siège ?
    
    - Vous n'avez pas peur ?
    
    -De qui, de quoi ?
    
    dit le carton.
    
    - Je pourrais...
    
    Elle se lève. Va-t-elle me quitter ? Ce ne sera pas une ...
    ... grosse perte ! Elle me tourne le dos, monte à genoux sur son siège, appuie sa tête toujours voilée contre la vitre. Elle regarde à l'est ? C'est peut-être l'heure de... Que fait-elle ? Mon Dieu, le tissu noir remonte, laisse apercevoir des mollets, le pli des genoux. Elle gesticule, soulève un genou, l'autre, montre un peu de cuisse. La cuisse devient plus large, plus épaisse. Ciel voici ses fesses blanches. Dans sa culotte de fine dentelle un abricot poilu fait une bosse fendue, au-dessus je devine le cul. Elle parle. Oh! elle ne discourt pas, sa voix éraillée dit juste
    
    - Viens.
    
    Une journée de patience, de déception et tout à coup, alors que je ne m'y attends plus, là, devant mes yeux apparaît un cul, blanc, large, un fessier splendide déborde du tissu médian.Le sexe aspire en une ligne le gousset.
    
    Deux mains viennent baisser l'élastique de la taille jusqu'au pli des genoux, dévoile la féminité, tirent sur les hémisphères, dégagent une vulve appétissante et la voix répète éraillée répète:
    
    - Viens.
    
    Voilà une invite claire. On ne me l'avait jamais faite cette surprise. Elle vient de retrouver un filet de voix pour m'inviter à la prendre. Je ne rêve pas. Je tends un bras, mes doigts touchent. La peau est rélle, douce, tiède. L'abricot tiraillé bâille quand je passe un index sur la longue fente.Elle s'offre ? Oui, ou j'ai un mirage d'homme trop abstinent.
    
    - C'est vrai ? Tu as envie de faire l'amour ? Tu caches ton visage et tu me tends ton sexe nu ! Tu veux ...
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