1. Une tranche de vie 3


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... moment d’hésitation, ne comprenant pas très bien, ce qu’elle voulait, quand elle me répéta :
    
    « Prends mon cul, puisqu’il te fait envie, … viens, oui, … encules moi, j’en ai envie, je veux sentir ta queue s’enfoncer dans mon cul »
    
    Enfin, je comprenais, je me retirais de sa chatte et me positionnais entre ses fesses qu’elle écartait de ses deux mains et je pouvais voir son petit trou qui semblait me faire de l’œil. Je me positionnais et essayais de forcer l’entrée. Elle était étroite au début puis elle se décontracta.
    
    « Défonces moi, …, rentres, … oui, forces, comme ça, … ». Enfin je réussissais à passer et m’enfonçais dans son fondement. La première pénétration passée, je cramponnais ses hanches et je l’attaquais lentement puis j’augmentais le rythme et la prenais à grands coups de reins, ce qui lui plaisait. En fait pendant qu’on baisait, elle parlait ou gémissait tout le temps, ce qui était particulièrement excitant et permettait de savoir ce qu’elle ressentait, d’accélérer, de ralentir enfin de faire en sorte de la faire jouir et de me faire jouir au maximum. Je vis au bout d’un moment qu’elle avait glissé sa main droite entre ses cuisses, je pus constater qu’elle se masturbait au même rythme que celui de mes pénétrations. Les gémissements augmentèrent et tout d’un coup elle lâcha ...
    ... son entrejambe et se cramponnant des deux mains au matelas, elle poussa un long gémissement suivi d’un « Oh, … Oui iiiii, … », heureusement qu’elle était partie, car j’étais en train d’exploser et de me vider dans son joli cul.
    
    Enfin elle s’allongea complètement sur le matelas et j’en fis autant. Elle se colla à moi, une jambe se glissa entre les miennes, un bras sur mon torse et je senti un sein se poser sur mon avant-bras. Ainsi installée, elle me glissa doucement dans l’oreille : « C’était bon, …, tu me rends folle, …, j’espère que tu as joui, ...». Il y eu une pose et se retournant pour se mettre sur le dos, elle dit : « Je me trouve bien, ainsi, nue au bord de la piscine à prendre le soleil, avec à coté de moi un beau mec, vigoureux et qui me donne du plaisir, je resterais bien tout l’après-midi. … au fait, il est quelle heure, j’avais dit à ma secrétaire que je serais de retour vers 4 heures, il est quelle heure ? » Je regardais ma montre.
    
    « Si tu dois être à 4 heures au bureau, tu es déjà en retard, il est 4,15 heures »
    
    Aussitôt, elle bondit : « Bon sang, de bon sang, dépêches toi de filer, je ferme la maison »
    
    Ainsi, après un début d’après-midi fort agréable, je filais rapidement, nous n’avions pas eu le temps de se dire au revoir, alors que je partais trois jours après. 
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