1. Une tranche de vie 3


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    Lundi 22 Juillet – Invitation impromptue
    
    En fin de matinée, alors que je bricolais dans le garage sur une moto que je venais d’acquérir, le téléphone sonna.
    
    Je décrochais : « Oui »
    
    « Bonjour Jean, c’est moi Sophie »
    
    Moi : « Pardon, vous êtes Sophie qui ?
    
    « Sophie P … »
    
    « OH, pardon, je n’avais pas reconnu votre voix, comment allez-vous ? »
    
    « Bien, merci Jean. Mon mari est en déplacement et Je suis seule une partie de l’après-midi, si tu veux venir utiliser la piscine en début d’après-midi, il n’y a pas de problème »
    
    « OH, oui, merci »
    
    « D’accord, tu peux venir en début d’après-midi, je t’attendrais. Rentres ton scooter comme la dernière fois »
    
    « Bien entendu »
    
    « Au revoir, à cet après-midi »
    
    « Au revoir »
    
    Wouahh, Mme P., enfin Sophie m’invite à la piscine et elle a dit que son mari n’était pas là, Wouahh …
    
    Début d’après-midi, je sonnais à la porte des P. qui s’ouvrit et je rentrais mon scooter et le garais dans l’allée.
    
    La porte d’entrée s’ouvrit et apparu sur le perron Mme P. Je m’étais raconté une histoire, elle était vêtue comme pour sortir. En me dirigeant vers le perron, je constatais qu’elle portait un tailleur bleu pastel, une jupe droite peut-être un peu courte, une veste de même couleur cintrée dont le décolleté laissait voir l’arrondi de ses seins. Et elle était chaussée d’escarpins de la même couleur. Pas possible elle allait me laisser dialoguer seul avec la piscine, … J’étais furieux et de plus en me voyant ...
    ... arriver, elle me tendit la main avec un petit sourire en coin. J’étais en rage, mais mes parents m’avaient bien éduqué, également je lui serrais la main.
    
    « Rentres, ne restons pas sur le perron »
    
    Ce que nous fîmes. Elle ferma la porte. Puis se tournant elle se colla à moi, colla ses lèvres sur les miennes et sa langue partie à la recherche de la mienne. Le baiser fut long, humide, passionné.
    
    « Je suis contente que tu aies pu venir, je suis seule cet après-midi »
    
    « C’est gentil de m’avoir appelé »
    
    « Viens j’ai préparé du café, … installes toi sur le canapé, le temps que j’aille chercher le café. J’ai eu l’impression quand tu m’as vu sur le perron que tu étais déçu. Pourquoi ? Tu trouves que je suis pas « classe », J’ai pourtant mis un tailleur, des escarpins pour être très classe et te faire plaisir, j’espérais que tu apprécierais ».
    
    « Oh, si, cela vous va très bien, vous êtes très élégante, mais j’ai été surpris de vous voir ainsi habillée »
    
    « Ah bon et comment m’imaginais tu ? »
    
    « Disons que je préférais le T-shirt décolleté et la mini jupe, mais il faut reconnaître là que vous êtes classe »
    
    « Merci. D’abord arrêtes de me vouvoyer, le « tu » me paraît plus approprié. Mais, tu verras que je peux aussi tout en étant très classe comme tu dis avoir des idées. Disons, j’ai envie que tu me baises comme un catin. Mais même étant classe je peux quand même te réserver une surprise, je vais chercher la cafetière », le reste étant déjà sur la table basse
    
    Je la ...
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