1. Un collègue de mon père


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Anal Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... aussi. Mon père était de nouveau au téléphone et j’ai prié pour que la conversation dure le plus longtemps possible. Et ce fut le cas, elle dura quasiment un quart d’heure.
    
    Jacques a commencé de cette façon :
    
    « Tu me rappelles un peu Ludivine… »
    
    « Votre fille ? »
    
    « Oui. »
    
    « Je lui ressemble ? »
    
    « Oui, un peu. Mais surtout, elle avait ton âge la dernière fois que je l’ai vue. Tu comprends ? »
    
    « Elle ne vous donne vraiment jamais de nouvelles ? »
    
    « Jamais. J’ignore où elle vit et ce qu’elle fait aujourd’hui. »
    
    « Et c’est parce que je lui ressemble un peu que vous me regardez si souvent quand vous venez ici ? »
    
    « Je suis désolé, dit-il. »
    
    « Ce n’est pas grave, j’ai l’habitude. Mais votre fille, vous la regardiez de la même façon ? »
    
    Il a tiré sur sa cigarette, puis il s’est tourné vers la cuisine pour s’assurer que mon père n’était pas sur le point de nous rejoindre, avant de dire :
    
    « J’avais tendance à beaucoup la regarder. »
    
    « C’est normal, c’était votre fille. »
    
    « Oui, mais… Je la regardais un peu trop, est-ce que tu comprends ? »
    
    J’ai tiré à mon tour sur ma cigarette, calmement, sans le quitter des yeux, puis j’ai soufflé ma fumée vers le jardin et dit :
    
    « Oui, je crois. »
    
    « Je te choque ? »
    
    « J’ai l’air choqué ? dis-je en souriant. »
    
    Il sourit à son tour, vérifia de nouveau que tout était calme dans notre dos, puis il répondit :
    
    « Tu es si mignonne et jolie. Je t’aime bien. »
    
    « Moi aussi, je vous aime bien. ...
    ... »
    
    Voilà comment les choses se sont passées. Ce fut aussi simple que ça. Ou au contraire très compliqué, selon l’angle sous lequel on se place.
    
    De longues secondes se sont écoulées après cette dernière phrase, au cours desquelles nos regards se sont croisés à plusieurs reprises, sans qu’on n’ajoute rien. Derrière nous, on distinguait les paroles de mon père, mais on ne le voyait pas. Et c’est au moment d’écraser mon mégot dans le cendrier que j’ai dit à Jacques :
    
    « Donnez-moi votre numéro. »
    
    Il a eu l’air de ne pas en revenir, mais avant qu’il dise un mot, je suis rentrée dans la cuisine pour prendre mon téléphone portable et j’ai regagné la terrasse en disant :
    
    « Dépêchez-vous, avant que mon père revienne. »
    
    Le soir-même, à poil dans mon lit, je me suis de nouveau masturbée en pensant à une scène avec Jacques, puis en me remémorant le soir où la femme de mon prof de gym nous avait surpris dans sa voiture. Il était en train de me prendre en levrette à ce moment-là. Sur le coup, j’avais bondi comme lui et, pendant qu’il se faisait incendier, je m’étais empressée de me rhabiller. Mais avec du recul, j’aimais me dire qu’elle avait peut-être attendu un moment avant de manifester sa présence. Peut-être qu’elle nous avait mater sur les sièges de cette voiture à la tombée de la nuit, à la lumière des lampadaires. Peut-être qu’elle avait bien aimé voir la queue de son mari s’enfoncer entre les fesses d’une collégienne à poil.
    
    J’ai joui deux fois et me suis relevé ...
«1234...»