1. Un collègue de mon père


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Anal Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... atlantique. L’homme m’a abordée tandis que je marchais dans un chemin de sable à côté de mon vélo, dans une forêt de pins. Je portais un maillot de bain deux-pièces de couleur mauve. L’homme était torse nu, avec un short en jean. Il avait le crâne un peu dégarni et je lui ai donné un peu moins de cinquante ans, comme mon prof de gym. Il a prétendu s’être égaré dans le dédale de chemins qui parcouraient la forêt, puis nous avons discuté. Il s’appelait Stéphane et nous avons finalement marché pendant un assez long moment dans la forêt, en discutant, en plaisantant. Je savais très bien ce qu’il avait en tête, lorsqu’il se décida à en venir aux faits au travers d’une allusion à mes tout petits seins, je n’ai opposé aucune résistance. Pour finir, nous nous sommes retrouvés en position soixante-neuf au milieu d’une clairière, et lui aussi a souhaité me sodomiser. Il a de même éjaculé sur mon anus. J’ai dû me confondre en excuses auprès du garçon que je devais retrouver sur la plage ce jour-là, et avec qui je suis sortie le soir-même.
    
    Quand mon père se décida à nous rejoindre dans la cuisine, Jacques venait de m’expliquer qu’il était divorcé depuis neuf ans et qu’il avait une fille de vingt-six ans qui ne voulait plus le voir depuis. Il ne me fallut pas bien longtemps pour réaliser qu’elle avait donc mon âge au moment du divorce.
    
    Mon père m’a demandé de mettre le couvert et, au cours du repas, dès que cela fut possible, Jacques me mata encore plus que la première fois. Au ...
    ... point que je finisse par lui dire :
    
    « Vous pourriez au moins être discret. »
    
    Mon père venait de se lever pour répondre à un autre coup de fil.
    
    Jacques fut assez honnête dans sa réponse :
    
    « Tu n’as qu’à pas te promener avec des petits décolletés pareils. »
    
    J’ai baissé les yeux vers l’échancrure de ma chemisette, mais il n’y avait rien de provoquant, juste trois boutons défaits et un vague aperçu de mon soutien-gorge blanc, alors je lui ai dit :
    
    « Il vous en faut peu… »
    
    « Oui, dit-il en souriant. J’aime bien t’embêter. »
    
    « Ah oui ? »
    
    « Je t’aime bien, ajouta-t-il. Tu es mignonne. »
    
    Et nous en sommes restés là cette fois-ci, car mon père est revenu et n’a plus quitté la table ensuite. J’ai dû attendre la semaine suivante pour revoir Jacques, dans les mêmes circonstances exactement.
    
    Entre temps, je m’étais masturbée en pensant à lui. Je m’étais imaginée une nouvelle scène dans la cuisine. Je portais la même chemisette blanche, mais sans rien dessous. Et, lorsque mon père s’était absenté pour répondre au téléphone, j’avais défait un cinquième bouton et ouvert un pan de ma chemisette pour montrer mon sein droit à Jacques. Il l’avait regardé pendant un petit moment, puis il avait approché son doigt et s’était mis à jouer avec mon téton. Il ne m’en avait pas fallu plus pour jouir.
    
    La semaine suivante, c’est à la fin du repas que j’ai pu discuter avec lui. J’étais sortie sur la terrasse de derrière pour fumer et il m’a rejoint pour s’en allumer une ...
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