1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (6/7)


    Datte: 21/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... chambre.
    
    - Marie, commande un repas dans ta chambre, n’oublie pas Brutus, il adore les sandwichs.
    
    Demande une bouteille de vin.
    
    Tiens si c’est nécessaire, voilà l’argent que nous n’avons pas donné à la SPA.
    
    Il me tend les billets, je retourne à l’entrée.
    
    - Hélas, nous sommes complets, il y a un congrès à la salle des fêtes et les hôtels ont été tous réservés.
    
    J’ai déjà refusé trois couples.
    
    - Vous avez des sandwichs et du vin ?
    
    Nous sommes dans la salle des pas perdus de la gare, et n'avons notre train que demain matin.
    
    Nous pourrons au moins nous restaurer avec mon mari.
    
    - La cuisine est fermée le soir, mais nous vendons du vin pour les touristes, je peux vous en vendre deux.
    
    Est-ce les deux gorgées que j’ai bues ?
    
    Je les prends, c'est un peu cher, mais si nous n’avons pas à manger, Muller pourra toujours boire un coup.
    
    Je le retrouve.
    
    - Qui dort, dîne !
    
    Installons-nous, je m’excuse de t’imposer de dormir par terre, en t’attendant, j’ai regardé dans leurs poubelles.
    
    Il y a du carton, ça nous isolera du froid, et j’ai trouvé quelques fruits trop murs, invendables, dans un restaurant.
    
    Regarde, il y avait un os de bœuf où il restait de la viande, Brutus se régale.
    
    Avec tes bouteilles de vin, je te promets un vrai festin.
    
    Dans son sac, il a tout ce qu’il faut, il en sort un tire-bouchon et un pull.
    
    - Mets-le, ça te tiendra chaud.
    
    Installons-nous, prends à boire, le picrate, tu verras c'est bon si la nuit se ...
    ... rafraichit.
    
    Une gorgée, deux gorgées, une bouteille, deux bouteilles, j’adore.
    
    Quelle conne de ne pas avoir biberonné plus tôt !
    
    Ça fait passer les fruits qui sont plus près du pourri que du blet, mais j’ai faim, tout fait ventre.
    
    On s’installe pour la nuit.
    
    Un train passe à pleine vitesse, un autre s’arrête.
    
    Où va-t-il ?
    
    Je suis dans un autre monde, j’ai envie de courir le prendre, comment puis-je accepter de dormir dehors, moi qui ai toujours aimé mon confort, surtout depuis que je suis dans notre pavillon.
    
    C’est à ce moment-là, alors que je suis dans les bras de Muller, Brutus, allongé à mon côté, me tenant chaud, que je sens une main prenant la mienne et la fait glisser dans sa braguette.
    
    Inutile de me poser des questions. Muller à des envies, il est presque déjà en état de me prendre.
    
    Je penche ma tête, je mets son énorme sexe dans ma bouche.
    
    Est-ce le vin qui m’aide, me permettant de dépasser mes limites ?
    
    Il entre, il entre, et il entre encore.
    
    Je le fais ressortir, il entre à nouveau, il entre et entre encore, ses couilles tapent sur mes lèvres, j’ai réussi une gorge profonde.
    
    Incroyable.
    
    J'ai pu mettre dans ma bouche son immense braquemart.
    
    Je sais, je suis à la base une bourgeoise et malgré cela je parle d’une gorge profonde, je m’en tape.
    
    Comment je connais ce terme ?
    
    Mon inconscient, mon subconscient peut-être ?
    
    Ce qu’il y de sûr, c'est que quand je me place en levrette et que sa verge d’un coup tape mes fesses, le ...