Le voyage du CE, jour 3
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Garouloup, Source: Hds
... temps la pression qu’il met avec son sexe contre mes fesses. Le fait de me raser a dû l’exciter aussi car son sexe semble bien dur. Je passe la main dans mon dos pour poser la main dessus. J’ai soudain une envie folle de son sexe, de ses couilles. Je me retourne, me mets aussitôt à genoux devant lui et m’attaque à sa ceinture. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ouvre, je débraguète et tire l’ensemble jean boxer vers le bas pour laisser apparaitre sa queue qui est en effet tendue à bloc. Et, immédiatement, je la mets en bouche.
Il me semble que ça nous fait autant de bien à l’un qu’à l’autre : pour moi, c’est comme si j’assouvissais une envie terrible, j’ai le sentiment de prendre sa queue comme un mort de faim…
De son côté, ses gémissements indiquent bien qu’il y trouve son compte. J’enfonce sa queue plus loin que jamais dans ma bouche, j’ai envie de la prendre entière, sans pour autant y arriver. Je veux que mon visage aille buter contre ses poils. Je m’enivre de son odeur. Je retire ma tête et gobe ses couilles, comme il m’avait fait hier soir.
Olivier prend alors ma tête, me remonte et dis :
- Viens, on va sur le plumard. Il se dégage de ses tennis, enlève complètement son jean et son boxer et m’amène vers le lit sur lequel quelques minutes plus tôt j’ai été rasé. Sur le lit, il finit de se déshabiller, enlevant le tee-shirt et les chaussettes. A nouveau, il est totalement nu devant moi. Je suis aux anges sans pour autant savoir quoi faire de sa ...
... nudité. J’ai envie de tout à la fois, et je ne sais pas par quoi commencer.
Comme d’habitude, il me facilite le boulot en prenant l’initiative :
- T’as pas faim ?
Il se retourne, passant à plat ventre sur le lit et me permettant au passage d’admirer son cul. il allonge la main vers la table de nuit où il avait posé la bombe de Chantilly. S’en saisissant, il se retourne et met une noix de Chantilly sur chacun de ses têtons, dessine un filet entre son nombril et la base de son sexe, s’enduit le sexe et les couilles, puis pose la bombe, passe ses bras sous la tête et déclare :
- Bon appétit !
Je n’ai évidemment pas besoin d’explications complémentaires … Et je passe à table ! A chaque endroit où il y a de la crème, la crème ce n’est que le hors d’œuvre, ce qui est vraiment bon, c’est de continuer à lécher l’endroit quand il n’y a plus de crème. Je m’applique sur chaque centimètre carré indiqué par la crème. Les pointes de ses seins me passionnent. Je les lèche, les mordille, les pince, les embrasse, les caresse puis les lèche à nouveau. Olivier m’encourage en sortant un bras de dessous sa tête et en posant la main sur ma bite.
Je suis le chemin indiqué par la crème et c’est fantastique de progresser ainsi doucement du nombril vers le sexe, le nez et la langue sur les poils. Je suis obligé de soulever la queue qui, bien bandée, remonte vers le nombril et empêche au fond de nettoyer avec tout le soin que je voudrais la crème juste au-dessus du sexe… En soulevant ...