1. Le voyage du CE, jour 3


    Datte: 20/01/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Garouloup, Source: Hds

    ... mon verre du sien :
    
    - Allez, ça marche !
    
    Autour du verre, on tchatche et tout me parait simple, il raconte sa journée, ce qu’il a aimé. Il note qu’il a bien vu que Nathalie m’a bien branché… Ne me vient pas une seconde à l’idée le fait que je devrai expliquer les couilles rasées en rentrant à la maison demain soir ! De temps en temps, nous appuyons les mains sur les cuisses l’un de l’autre.
    
    A la fin du verre :
    
    - Bon, tu te désapes ?
    
    Il ouvre la poche de rasoirs et ouvre puis étale un exemplaire de la Repubblica sur le lit :
    
    - Tiens tu te mettras là-dessus, sur le dos. C’est pas super confort, mais ça nous évitera de mettre des poils partout !
    
    Je suis vite à poil, le sexe raide comme un piquet.
    
    - Tu vois, le programme me fait de l’effet !
    
    Il tapote le lit :
    
    - Allez, allonge-toi.
    
    Il saisit ma queue, la branle un peu et ajoute :
    
    - On s’occupera d’elle après ! Ecarte un peu les jambes. Pour le moment, on s’occupe de ça… Dit-il en me prenant les couilles en main.
    
    J’écarte les jambes et il s’approche le rasoir. Je ne suis pas vraiment serein et ça me fait un peu débander. Il soulève les couilles et commence le rasage en dessous. C’est très doucement fait, et je ne sens rien. J’essaye d’être attentif à ce qu’il se passe, je sens bien le circuit du rasoir, mais je ne vois rien…
    
    - C’est bien que t’aies la trouille et que tu débandes : c’est plus facile à raser au repos !
    
    - Tu fais attention !?
    
    - Oui, t’inquiète, pas de stress !
    
    La ...
    ... caresse de ses mains sur mes boules est incroyable : ce n’est pas vraiment un massage, juste une caresse. Il pousse le paquet un peu vers la gauche pour s’occuper de l’endroit où les couilles se rapprochent de la cuisse, puis même chose de l’autre côté.
    
    - Rabats tes genoux sur ton torse, tu veux bien ? Comme ça je finis bien le dessous.
    
    Je m’exécute, en me rendant compte que, ce faisant, je lui montre, (lui ouvre ?) mon trou du cul.
    
    - Tu rases pas trop près du trou, tout de même…
    
    - T’en fais pas !
    
    Ceci dit, quoique que s’appliquant, il ne se gêne pas pour toucher les fesses, et même le trou !
    
    L’anxiété a passé et je bande à nouveau dur, et bizarrement sans aucune gêne envers Olivier qui est tout habillé à côté de moi… J’ai un léger tressaillement lorsque sa main s’égare vers mon trou. Mes couilles qui étaient déjà assez sensibles poilues me font maintenant l’effet d’être des terminaisons nerveuses à vif !
    
    Au bout d’un moment :
    
    - Voilà, c’est fini ! Tu veux voir ?
    
    Je me lève et me dirige vers le miroir positionné sur la porte du placard dans le couloir. J’entends que pendant ce temps, Olivier met en boule et à la poubelle le journal qui a servi de réceptacle à mes poils…
    
    Devant la glace, je trouve le résultat assez convaincant. J’ai l’impression que mes couilles ont grossi. Olivier, toujours habillé, vient se positionner derrière moi, saisit mes couilles neuves en même temps qu’il m’embrasse le cou :
    
    - Alors ?
    
    - Génial !
    
    Je sens en même ...
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