Dimanche salé-sucré
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe
... excitée. Je poussai un petit cri lorsque mon propre majeur fut tout au fond de mon vagin. Je ne m’étais pas rendu compte que mon excitation était si forte, que j’avais besoin de plus. Ma main répondait à mon besoin naturel, ce besoin de jouir de cette vue, de la beauté de ce geste. Je sentais ma paume contre mon pubis, lisse depuis peu de temps. Et la sensation était effectivement très agréable, mais la vue de son doigt qui maintenant ressortait de son sexe était encore plus délicieuse. Son majeur était maintenant libre, si féminin pour servir de phallus. Il était luisant.
Elle le descendit un peu et le posa avec douceur sur son anus, qui réagit en se contractant. La pulpe de son doigt effleurait ce petit anneau de chair, le lubrifiant délicatement. Isabelle décrivait de tous petits cercles sur le pourtour de son trou, revenant de temps en temps au centre en appuyant légèrement. Chaque pression du doigt déclenchait une petite contraction. La peau autour de son anus se tendait, comme pour l’inviter à entrer. Il était encore trop tôt, manifestement.
Elle remonta son doigt, toujours tendu, et le réinséra au cœur de sa vulve, accélérant du même coup sa respiration. Le mien continuait à me fouiller ; il allait et venait en moi, ma paume glissant sur mon pubis et mon index et annulaire massant mes chairs. Je sentais mon vagin, si chaud et si humide. Mais le doigt de ma merveilleuse amante ressortit enfin de son sexe et vint se replacer en plein cœur de son anus, recommençant ...
... à décrire de très légers cercles, mais la pression semblait plus importante. Je pouvais voir la pulpe de son doigt commencer à ouvrir le petit anneau légèrement brun. Il devenait lui aussi brillant, lubrifié par le plaisir d’Isabelle.
Elle bloqua sa respiration ; son petit trou sembla venir à la rencontre de son doigt. Sa première phalange, comme aspirée, se perdit dans son anus. Elle ne bougeait plus, respirant à peine. Au bout de ce qui me sembla être une éternité, elle commença à faire de très légers allers et retours. Son majeur ne progressait pas en elle, mais je voyais son anneau suivre le mouvement. C’était fascinant, si érotique de la voir se donner du plaisir, impudique, libre de son corps ! Je ne pus réprimer l’envie de poser mes lèvres sur sa vulve offerte à ma bouche. Elle sursauta mais me souffla :
— Avec ta langue…
Elle se tut un instant, prit une profonde inspiration et continua :
— Tout doucement.
Je n’en attendais pas tant. J’étais plus que décidée à lui obéir. Je passais ma langue sur sa vulve, du côté libre. Je sentais sa main trembler un peu, et remontai le long de ses lèvres, destination son clitoris. Elle fit ressortir son majeur de son trou et plongea son index dans son vagin, d’une manière plus rapide que précédemment. Elle en extrait la précieuse liqueur qu’elle posa au cœur de son anus, et c’est son majeur que reprit l’exploration, replongeant au centre de cette petite corolle qui se contractait régulièrement. Lentement, délicatement, ...