1. M...4


    Datte: 19/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: leger69, Source: xHamster

    ... encore, bouger vainement pour attirer l'attention. Peut-être qu'on me regarde, qu'on me filme...mon coeur s'emballe dans cette attente perverse, je l'entends battre malgré la musique qui cogne à mes oreilles.
    
    Ça y est. On m'introduit. On dirait un gode, de grosse taille, qui pénètre ma chatte sans difficulté, me procurant une jouissance immédiate. Une machine, c'est une machine qui me baise...le rythme est régulier, métronomique, aucune peau, aucun doigt ne me touche, juste le bras de la machine qui enfonce inlassablement son gode en moi, me pilonne. La délivrance est absolue, je jouis déjà, par le vagin, délivrant mes tensions.
    
    Le rythme baisse. Je sens un deuxième sexe en plastique se loger dans mon anus tandis que le premier s'est arrêté en moi. Il est énorme, me fait un peu mal au début, mais quand il commence à s'actionner dans mes entrailles le plaisir renait, me fait chavirer.
    
    Les deux objets me violent ensemble, au rythme de la musique, je deviens hystérique en les sentant se rejoindre dans mon ventre, l'un sortant de mon anus pendant que l'autre investit ma chatte inlassablement. Le rythme devient fou, la machine s'emballe et me fait jouir plusieurs fois, alors que des images d'Himalaya défilent dans ma tête, véhiculées par la musique.
    
    J'ai le ventre en feu d'artifice, en explosion continue pendant que la machine dévaste mes trous, c'est à peine si je sens un premier coup de fouet m'atteindre sur les reins.
    
    Sa morsure me rappelle à la vie, me fait du ...
    ... bien...augmente ma jouissance. Je n'aurais jamais cru vivre de telles émotions corporelles et psychiques. Le voyage est total, dans un pays inconnu, celui du plaisir violent, de l'orgasme qui punit.
    
    La chevauchée de mes orifices dure encore longtemps, sans répit, mais toujours je jouis, je gicle, habitée par des robots vicieux et infatigables.
    
    Je crois que les coups de fouets ont cessé, je ne sais plus très bien, mon corps ne m'appartient plus. Et c'est bon.
    
    Soudain le rythme des engins se calme et je sens un gland s'approcher de mes lèvres. Enfin, il me donne un peu de lui, de sa chair ! J'ouvre vite la bouche pour le gober avec gourmandise mais je ne reconnais pas son sexe. Sa forme est étrange mais il est bien chaud et vivant, ce n'est pas une machine en plastique.
    
    Je comprends tout à coup. C'est le chien.
    
    J'ai déjà vu des photos de sexes de chiens au musée érotique d'Amsterdam...il n'y a aucun doute, il me donne à sucer la bite de son lévrier.
    
    Je suis écoeurée, surprise, mais le contact de sa chair chaude dans ma bouche me fait du bien, j'en ai une sensation orale agréable, douce, et mon désir repart de plus belle quand les godes recommencent à prendre de la vitesse en moi.
    
    Tout son sexe est dans ma bouche maintenant, je sens sa forme, son petit gland et la grosse boule juste après, il s'enfonce jusqu'à ma gorge, surtendu, ma langue le dévore, mes lèvres se serrent fortement sur lui, ma salive abonde. Je le pompe comme une folle, survoltée, je n'aurais ...