M...4
Datte: 19/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: leger69, Source: xHamster
M4
Plusieurs jours sont passés sans contact avec M. Mon esprit était sans cesse occupé par son souvenir, mon cerveau repassait en boucle des images de lui.
Je n'avais aucun moyen d'entrer en communication avec lui et tous les jours j'espérais avoir de ses nouvelles.
Je me rassasiais tant bien que mal de masturbations solitaires, en regardant du porno...mais tout me semblait fade. Seules les vidéos de SM arrivaient à me titiller, et encore pas toujours.
J'avais l'impression d'être triste, exsangue. Mon mari ne me touchait plus, de toute façon il allait être réopéré bientôt, et même nos échanges verbaux étaient parfois tendus. Toute tendresse avait disparu de notre couple; je m'en sentais également fautive.
Cette traversée du désir se faisait sur une route bien sombre, orageuse.
À table un soir, mon mari, à qui j'essayais de soutirer la moindre information possible sur M, me dit qu'il était parti à Paris depuis 3 jours...Voilà qui n'indiquait rien de bon sur notre prochaine rencontre, il avait quitté Bordeaux pour ses affaires. Je m'astreins à attendre, la mort dans l'âme.
Le facteur délivra cette attente dès le lendemain matin. M m'avait écrit ! Je déchirais l'enveloppe nerveusement, surexcitée de le lire. En fait il y avait juste un billet d'avion, un aller-retour pour Paris, dont le vol partait l'après-midi même à 14h15.
Je me précipitais alors dans la chambre, manquant de me vautrer dans l'escalier, pour me préparer et faire mon sac.
J'ai ...
... dévasté ma penderie pour choisir les plus beau habits et la meilleure lingerie. J'étais un peu perturbée qu'il n'y ait aucune consigne, aucun mot. Je me sentais désorientée, j'avais beaucoup de mal à faire des choix.
Je remplis donc ma petite valise comme je pu et partis pour l'aéroport à toute vitesse même si j'avais bien 3 heures d'avance.
Sur le chemin j'ai laissé un message à mon mari, la voix tremblante, pour lui expliquer que ma tante Jacquie avait fait un infarctus et que je la rejoignais au plus vite à Paris.
L'attente à l'aéroport fut un calvaire, le vol pourtant rapide me parut durer une journée entière. Je sentais avec délice mon sexe reprendre vie, se remplir de jus comme un fruit sec qu'on trempe dans l'eau pour le gorger.
J'arrivais à Orly dans un état second, mélangé d'excitation et d'appréhension.
M était là, toujours aussi élégant, accompagné d'un magnifique lévrier Afghan gris.
Il ne dit pas un mot, je le suivais dans les couloirs de l'aéroport, n'entendant plus que le bruit des roulettes de ma valise cabine dans ce flot de gens qui se croisaient.
Il avait une petite voiture anglaise dont le chien remplit la banquette arrière en s'allongeant gracieusement. Je montai devant, muette.
Arrivés au centre de Paris, il se gara au parking souterrain de la rue Montorgueil et nous nous dirigeames tous les trois vers la rue St Denis, ses surplus de fringues vintage, sa foule cosmopolite et ses sex shops.
Il emmena son lévrier dans une boutique de ...