La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1018)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... en posant sa large main ouverte sur sa braguette fermée, quand me lança très directement :
- Non je ne veux ni te dire comment y aller, ni te rendre l’adresse. Je veux juste te faire entrer dans mon hôtel, et te baiser, jusqu’à plus soif ! Quand on s’habille comme une petite pute, comme toi, c’est forcément ce qu’on cherche à baiser ! Alors ne fais pas la difficile, et suis-moi, salope !...
Sur ces mots sans détour, il s’approcha de moi, qui ne savait pas quoi faire, m’attrapa par les cheveux et me tira après lui dans le hall de l’hôtel. De l’extérieur, on n’avait pas forcément envie d’entrer, mais l’impression se confirmait à l’intérieur ! C’était sombre, poussiéreux, glauque et dans l’air flottait une odeur âcre. Il m’entraina dans le pièce qui se trouvait derrière l’accueil, où il n’y avait personne, et sans prendre le temps de fermer la porte, il me poussa en avant, ce qui me fit atterrir sur le bureau, il défit son pantalon et me plaqua, sur le ventre, sur la surface en bois.
- Allez, fais pas ta farouche, salope ! Regarde-toi comme tu es sapée, une vraie putain ! Alors, tu te penches et ainsi ton joli petit cul et ta belle petite chatte se dévoilent !
Après avoir passé sa main sur la rondeur de mes fesses et avoir glissé une main entre mes cuisses :
- Hummm, une vraie petite pute en chaleur ! Je n’ai encore rien fait, mais rien que l’idée que tu vas te faire prendre, tu mouilles, salope !
Alors en même temps qu'il me tirait la tête en arrière en ...
... s'agrippant à mes cheveux, étirant douloureusement mon cuir chevelu, il me plaquait le torse d'une main de fer, puis sans attendre, il me pénétra brutalement la chatte par derrière et me pilonna violemment, puissamment comme un mâle en rut. Ses coups de reins étaient tellement forts que le bureau contre lequel je me faisais monter comme une vulgaire chienne de rues avançait petit à petit vers le mur du fond. Régulièrement, alors que ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides, sa main quittait mon dos pour m'assener des claques sèches et douloureuses sur mes deux globes fessiers. Je ne pouvais retenir que mes cris, mes larmes, elles coulaient. Mais mon dieu, c'était tellement bon, de se faire prendre ainsi ! Cette douleur, cette excitation qui grandissait en moi... La douleur s'estompait sous le plaisir qui montait inexorablement de plus en plus. J'avais une envie quasi irrépressible de jouir tellement j'étais transportée par ce mélange explosif. Mais je me retenais, je faisais tout ce que je pouvais pour me contenir. Je n'étais pas en présence d'un Dominant, mais mon éducation faisait qu'en n'importe quelle circonstance, je ne me sentais pas le droit d'avoir d'orgasme sans autorisation. Jusqu'à ce que l'homme qui me besognait avec toujours autant de vigueur virile dans ma caverne dégoulinante se mette à parler.
- Ne me dis pas... que je ne te fais... pas d'effet... petite pute... ta chatte bave... alors qu'est-ce... que tu attends... pour te lâcher... salooope ...