1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1018)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1008) -
    
    Mais pour obéir au Maître, j’aurai accepté de me donner à qui Il voudrait… Dès que je fus sur le trottoir, je cherchais dans la poche de ma mini-jupe moulante et ultra-sexy, un papier replié en de nombreuses fois sur lui-même et sur lequel il y avait juste le nom d’une rue et un numéro : « Boulevard de Clichy, numéro 40 ». Je n’étais pas très douée en géographie, mais je ne pensais pas me tromper en pensant qu’il n’existait en France qu’un seul Clichy, en région parisienne. La ruelle où je me trouvais n’était pas passante. Je ne savais pas si je me trouvais déjà à Paris ou non, donc il fallait que je me déplace. Autant être nue dans un contexte D/s ne me gênait absolument pas depuis longtemps, autant me balader dans la rue, au milieu de la société vanille, ainsi vêtue, m’embarrassait fortement ! Je me sentais plus indécente ainsi que lorsque j’étais dans mon plus simple appareil. J’essayais d’avancer sans trop remuer le bassin pour que ma très courte mini-jupe ne remonte pas trop, au risque de dévoiler ce qu’elle était censé cacher un minimum.
    
    Après quelques mètres, je tombais sur une rue beaucoup plus fréquentée. Plusieurs voitures me klaxonnèrent, presque toujours conduites par des hommes, mais aussi parfois par des femmes. Cela dit personne ne s’arrêtait, car je n’osais pas faire de signe pour qu’ils le fassent... Jusqu’à ce que je passe, distraitement, devant un point d’information ...
    ... alors que j’essayais de trouver des panneaux de rue… devant un homme adossé à un mur, près de la porte d’entrée d’un hôtel, qui, de l’extérieur, ne payait pas de mine... Il me héla plusieurs fois avant que je ne me retourne. Il était grand, un visage carré et rustre et à n’en point douter baraqué, style videur de boîte de nuit, un jean noir, et un t-shirt noir moulant qui laissait apparaître le dessin de ses muscles.
    
    - Et la belle ! Tu m’entends enfin. Où tu vas comme ça ?
    
    - Je voudrais me rendre à cette adresse (je lui tendis le bout de papier avec l’adresse) mais je ne sais même pas dans quelle ville je me trouve...
    
    L’homme éclata d’un rire tonitruant, m’effrayant un peu. Je ne savais pas ce que j’avais pu dire de si drôle dans le peu de mots que j’avais prononcé.
    
    - Mais ma p’tite, tu veux aller à Paris, et tu t’y trouves ! Il n’y a plus qu’à arriver à ta destination !
    
    - Je vous remercie pour cette information. Est-ce loin ? Pouvez-vous m’indiquer comment m’y rendre ? Je n’ai pas d’argent pour payer un taxi.
    
    Le regard de l’homme changea d’un coup. Il se fit pervers et gourmand par son regard, chargé d’électricité. Il prit aussi un ton vicieux :
    
    - Cela peut s’arranger si tu veux, je peux te donner de l’argent, mais il faudra le mériter, si tu vois ce que je veux dire …
    
    - Vous ne voudriez pas me dire plutôt comment y aller ? Sinon, rendez-moi le papier, je me débrouillerais bien.
    
    L’homme replia le papier et le mit dans son pantalon en ricanant et tout ...
«1234»