Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe
... séance photo. Je me souviens que la piqûre que j’avais dû réaliser ce jour là est vite expédiée et mes deux tourtereaux se retrouvent tous les deux à poil, passablement excités, ce qui se remarque bien entendu surtout dans le chef du monsieur.
C’est tout nu et le zizi bien dressé qu’il m’explique le fonctionnement de son appareil. De son appareil photos, je précise ! Et je me mets au travail ! Un travail particulier et exceptionnel dans ma carrière, certainement déontologiquement contestable, mais pour lequel je me suis bien amusée.
La chambre, la salle de bain, le salon, et même la cuisine et le palier de l’appartement ont été le théâtre de ces poses. D’abord sages, elles se sont transformées, au fur et à mesure, en positions plus osées. Il a d’ailleurs fallu que je mette moi-même des limites, je n’avais pas l’intention de réaliser un reportage porno.
Je trouvais que les prises sur lesquelles madame posait ses lèvres sur l’érection de monsieur et où la langue de monsieur faisait mine de s’insinuer entre les lèvres du sexe de madame étaient bien suffisantes ! Pas question que j’assiste, fût-ce comme photographe, aux ébats de ces deux êtres en chaleur, comme Élisabeth semblait vouloir me le proposer ! Je m’éclipsai, les laissant à leurs ébats !
Élisabeth, me permit de choisir parmi les photos que j’avais réalisées. J’en choisis une très soft, où tous les deux étaient debout, nus bien sûr, monsieur tenant madame par les épaules et madame enlaçant la taille de ...
... monsieur. Élisabeth sembla déçue de mon choix et me proposa une photo où son mec démontrait une belle vigueur. Je refusai, mais reçus néanmoins le cliché quelques jours plus tard. Je ne collai dans mon album secret que la photo soft…
D’autres souvenirs amusants. Les timides. J’en ai connu un paquet. Qui font passer un message subliminalement érotique à l’infirmière de service, c’est-à-dire à moi-même. Des exemples ?
M. Hutois (et bien d’autres comme lui) qui laisse négligemment traîner des revues de cul sur la table du salon. Plus amusant ? M. Noël qui tient absolument à ce que je le soigne dans sa chambre, là où une photo dans un cadre le représente nu, mais de dos. Du même style, M. Hourlay qui manifestement remplace les cadres de son salon avant ma venue, et y place des pêle-mêle où se retrouvent des gens à poil, parmi lesquels il est reconnaissable…
Amusant encore ? M. Ansenne qui m’accueille en musique. Il a mis une cassette où passent à la queue leu leu une série de chansons qui parlent de sexe ou sont gentiment érotiques. Pierre Perret s’octroie la part du lion. « Le zizi », « À poil, tout le monde à poil », « Ce joli mot con », « La porte de ta douche est restée entr’ouverte », « Les seins »,… puis « Déshabillez-moi » chanté par la Greco, ou « La vilaine fermière ». Les érotiques de Gainsbourg y ont aussi leur place, bien entendu. Et, cerise sur le gâteau, la sublime chanson de Colette Renard :
— Les nuits d’une demoiselle.
Pour chacun d’eux, j’octroie une ...