1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1177)


    Datte: 16/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... une vaste pièce comportant énormément de placards, commodes, rangements en tout genre, une grande table et de confortables chaises. Quand il nous y conduisit, je pensais que c’était dû à la noblesse du Maître et à Sa position respectée dans toute la région. Si ce n’était pas tout à fait faux, ce n’était pas la seule raison. Et je le compris vite lorsque, la porte à peine fermée, le Maître exigea que je me débarrasse rapidement de mes vêtements. Retrouvant immédiatement mes réflexes d’esclave, j’obéissais et vins me positionner à Ses pieds. Il exigea de moi que je m’allonge sur la table, sur le dos en écartant largement les cuisses et que je ne bouge surtout pas ainsi exhibée.
    
    - Je ne t’attache pas, mais tu as l’interdiction de bouger, quoiqu’il se passe. Si la moindre assiette, le moindre verre, se renversait, tu serais sévèrement punie !
    
    Quelqu’un frappa à la porte. Charles alla jusqu’à la porte, ne laissant pas cette personne entrer ou voir ce qu’il se passait dans la pièce. C’était un employé de la maison qui apportait un chariot avec différentes entrées chaudes. Aidé du Châtelain, il plaça les assiettes, les verrines ou autre plats chauds sur mon corps. Ils placèrent également quelques verres de différents vins, également sur moi, ce qui me demanda une énorme concentration pour ne rien renverser. Le Noble me faisait gouter à tout, précisant que c’était notre mariage à tous les deux et donc que j’avais le droit à donner mon avis. Il partageait chacun des ...
    ... différents mets, me donnant la becquée. Suivant les conseils de Charles, il gouttait les différents vins. Pour me les faire partager, Il prenait de longues goulées qu’Il n’avalait pas, et venait les laisser s’écouler dans ma bouche qui devait rester ouverte, avec sa bouche entrouverte juste au-dessus de la mienne. Si je n’étais pas attachée, j’avais les yeux bandés, et je profitais pleinement des mariages de goûts, arômes et des odeurs les plus raffinés. La même chose se produisit avec les entrées froides. Quand les viandes arrivèrent, les sauces étaient directement versées sur mon corps. Monsieur le Marquis dégustait ainsi les viandes directement sur mon corps. Je me retrouvais très vite souillée de différentes saveurs. Les poissons et légumes furent disposés autour de moi. Mais les vins les accompagnants étaient toujours disposés sur moi. Alors quand le Maître voulut se rendre compte si j’étais excitée par la situation, je dus faire appel à des trésors de maîtrise de moi-même pour ne surtout pas bouger. Avec une petite fourchette, Il piquait parfois un morceau de poisson, faisant attention à ce que les dents soient bien recouvertes pour ne pas me blesser, et Il venait l’enfoncer dans ma chatte, déclarant qu’il n’y avait pas meilleure sauce pour les accompagner et me faisait goûter ainsi la fourchetée !
    
    Avant que les différents fromages et desserts ne fussent apportés, ils me débarrassèrent de toutes vaisselles, et toujours avec l’interdiction de bouger et surtout de jouir, ils ...