1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1177)


    Datte: 16/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1176) -
    
    Un regard de puissance dominatrice si forte qu’il m’envoûtât … Pour rejoindre le fameux traiteur, nous primes les transports en commun, ce qui était donc le choix du Noble. Un bus jusqu’à Lyon puis le métro. Contrairement à la fois où j’avais pris un bus seule, devant respecter la règle disant que même à ce moment-là, je devais me comporter comme une esclave, cette fois-ci, je pris ces transports en commun en tant que fiancée de Monsieur le Marquis d’Evans. Il me tenait par la main et nous ressemblions à n’importe quel couple d’amoureux. Dans le métro, qui était bondé, nous dûmes rester un moment debout. De Son bras droit, Il me colla contre Lui, tandis que Sa main gauche s’insinuait entre nous et se glissait discrètement sous ma très courte jupe, me doigtant délicieusement l’anus. Faisant mine de déposer un baiser sous mon oreille, Il ne murmura qu’un mot à peine perceptible :
    
    - Attention !
    
    Ses doigts se faisaient de plus en plus insistants, quand il fit un claquement de langue, signal pour m’ordonner de jouir. Nous étions dans un lieu public, il me fallait donc rester discrète. Pas un son ne sortit de ma bouche, aucun mouvement ne fut perceptible, si ce n’est une légère crispation de la mâchoire, des pupilles se dilatant, ou encore peut-être un très léger tremblement. Mais je savais que seul le Maître qui me connaissait si bien pouvait percevoir ces signes, et comprenait que des vagues de plaisirs ...
    ... étaient en train de déferler en moi. Quand Il me murmura un laconique :
    
    - Stop !
    
    Je peinais à tenir debout… Je vis comme une bénédiction un couple se lever pour descendre et le Maître m’entrainant vers les sièges qui venaient de se libérer. Il me serra contre Lui et je profitais du peu de temps de trajet qu’il restait pour me remettre de cet orgasme si puissant ! J’adorais quand Il exigeait de moi que je jouisse ainsi en public, sans rien devoir laisser paraitre. Mes orgasmes étaient particulièrement forts dans ces cas-là…
    
    La station de métro se trouvait juste en dessous de la boutique du traiteur. Il ne nous fallut donc pas longtemps pour l’atteindre. C’était un grand bâtiment où se trouvait un grand laboratoire/cuisine, où il était préparé des petites portions de tout ce que Monsieur Charles Scott, propriétaire de ce lieu, pouvait proposer afin que les clients puissent se faire une idée en direct des plats qu’ils pourraient proposer à leurs réceptions. Les clients étaient généralement reçus dans la grande pièce principale où se trouvaient le bureau d’accueil, et plusieurs tables et chaises pour les dégustations. La décoration était chaleureuse, et une musique d’ambiance était diffusée en permanence. Un diplôme encadré trônait sur un mur et qui était placé visiblement afin que tous puisse le lire et où il était noté en grosses lettres en gras : ‘‘Meilleur cuisinier-pâtissier de France’’. Et pour les clients plus particuliers, Monsieur Scott les recevait dans son bureau, ...
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