Marion - Histoires de Sexe

Marion

... sur la bouche, et mettre mon sexe en toi, où que ce soit. Cela, tu devras t’en passer.
— C’est parce que vous avez honte de cette partie de votre anatomie que vous agissez de la sorte ? Le titilla Marion.

Il rit doucement puis annonça :

— Pas le moins du monde, au contraire.
— Alors pourquoi ?
— Parce que je ne veux pas. Cela ne te suffit-il pas, comme raison ?

Marion sursauta. Il semblait la réprimander.

— Si, bien sûr, excusez-moi, je ne voulais pas être impolie.

Il ne répondit rien, se contentant de la détacher, sans qu’elle ne le lui ait demandé. Cependant, c’était effectivement ce qu’elle désirait. Lorsqu’il eut fini, elle souffla :

— Je suis désolée, sincèrement. Je ne voulais pas vous blesser.
— Ce n’est pas le cas, assura-t-il. Je comprends que tu en veuilles plus et que tu ne comprennes pas mon refus mais il est sans appel.
— Je vous promets de ne plus jamais le demander. Y a-t-il autre chose que je dois éviter ?
— Non, juste ça. Compte, maintenant, il est tard. Tu as besoin de dormir.

Marion hocha la tête et retira son bandeau après avoir dit "cinq". Elle dormit magnifiquement et alla travailler l’esprit léger. Pendant quelques jours, il ne changea pas ses habitudes mais vendredi soir, Marion sentit une différence dans son comportement. Il était venu quand elle l’avait demandé et avait obéi à son ordre de la caresser, d’abord le haut du corps, puis les seins, mais ses caresses étaient moins agréables que d’habitude. Cela étonna la jeune ...

... femme qui demanda :

— Vous le faites exprès ? Que ça soit moins bien que ces derniers jours ?
— Pourquoi est-ce moins bien, répondit-il ?

Marion fut prise de cours par la question alors qu’il continuait à la caresser avec douceur. Elle se demanda ce qui avait changé puis souffla :

— Vous ne me caressez pas les mamelons…
— Exact. Si tu le veux, il va falloir me le demander maintenant, dit-il. Jusque-là, j’ai accepté des ordres peu précis, parce que tu avais du mal. Maintenant que tu es à l’aise avec ça, tu vas devoir faire preuve de beaucoup plus de précision.

Marion fit la moue mais sourit en même temps.

— D’accord. Caressez-moi aussi le bout des seins, je vous prie.

Elle attendit un instant, laissant le plaisir venir puis souffla :

— N’hésitez pas à plus me pétrir les seins. Je ne suis pas contre un peu de brutalité.
— Cela, dit l’inconnu en obéissant, tu ne me l’avais jamais dit. C’est bien, tu commences à prendre confiance.

Marion sourit alors que les actions de l’inconnu, plus proches de ses désirs, faisait monter le désir avec plus de force.

— Embrassez-moi le cou.

Il obéit mais Marion trouva, là encore, que ce n’était pas parfait. Elle réfléchit – ce qui était difficile car l’inconnu n’avait cessé de la caresser et cela lui embrumait les neurones – puis ordonna :

— Utilisez votre langue.
— Pas assez précis, murmura-t-il sans s’arrêter de l’embrasser avec douceur.
— Des petits coups de langue, commanda-t-elle.

Elle obtint exactement ...