Impulsions comateuses (2)
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: OnoX, Source: Xstory
... lui. Elle tenta de se libérer, mais ne voulant pas faire de mal à son fils, elle ne put se résoudre à le frapper. Elle força, mais il resserra sa prise.
— Ouh, Théo ! Fit-elle surprise de la force de son fils. Ne fais pas ça ce n’est pas... bien !
Il fit sortir l’autre sein, dont le téton subit le même traitement que le premier. Il roula avec vigueur entre les doigts de sa main gauche celui, humide et turgescent, qui venait de quitter sa bouche.
— Oooh non, Théo, non !
Elle voulut se dégager, mais son fils qui avait retrouvé de la force et ne se laissa pas faire.
— Maman ta peau est vraiment très belle, dit-il avec plaisir.
— Théo, lâche-moi ! chuchota-t-elle.
Pendant deux minutes, ils chahutèrent, mais rien n’y faisait. Il continua inlassablement son travail sur les seins. Isabelle chercha à se dégager plus fort et finit par monter à moitié sur le lit.
Son fils ralentit le rythme et suça plus doucement faisant glisser sa langue d’un sein à l’autre. Il souleva le sein gauche sa mère et lécha avec avidité la peau tendre et sensible du dessous.
— Non, ne fais pas ça !
Isabelle avait maintenant un genou contre son fils et une jambe dans le vide, ce qui remonta sa jupe serrée jusqu’au-dessus des cuisses. Théo en profita et glissa sa main du dos jusqu’en dessous de la jupe et mit un doigt à sa mère. Son majeur rentra comme dans du beurre, le sexe humide ne lui opposa aucune résistance.
— Non non non !
Isabelle haletait, les va-et-vient du doigt ...
... de son fils l’engourdissaient.
— Pourquoi non ! Tu es toute trempée et je sais parfaitement bien ce que ça veut dire, dit-il avec le sourire.
— Je suis ta mère, tu ne dois pas ! Arrête ou je vais crier ! Et si tu continues, tu ne rentreras...
Il enfonça son annulaire en plus.
— Ouhoh ! ...pas...tu ne rentreras pas à la maison, finit-elle sur une petite voix.
Elle se perdit dans ses pensées.
(Hier soir sa fille et elles s’étaient dit que, quoi qu’il arrive, elles feraient rentrer Théo chez elles, même si elles devaient mentir pour cela. Sa fille lui avait dit :
— S’il ne le fait exprès, on fera attention et c’est tout. On s’habillera avec des vêtements neutres le temps que sa psychanalyse fonctionne.
Elle lui avait expliqué que c’était plus compliqué que ça, Laura n’en avait pas démordu.
— Je suis sûr qu’une fois à la maison, il ira mieux. On est sa famille il ne nous fera jamais de mal.)
Mais là, Isabelle se rendit compte que cela allait quand même loin. Elle n’osa pas crier, de peur qu’il ait des ennuis qu’il ne méritait pas.
Pendant ses réflexions Théo ne chôma pas et ses doigts s’activèrent comme jamais. Elle sentit quelque chose monter en elle. Non, se dit-elle inlassablement, mais elle le sentit, en à peine cinq minutes son fils l’avait chauffé au rouge.
Les bruits de succion l’avait toujours excitée, comment son fils pouvait faire de tels bruits avec ses seins. Et les doigts qui la ramonaient, pensa-t-elle, car s’était bien le terme ...