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Impulsions comateuses (2)
Datte: 15/01/2019, Catégories: Divers, Auteur: OnoX, Source: Xstory
... à son tour. Elle continua et arriva au cri. Carline l’interrompit : — Oui c’est là où je t’ai vu, le doc est arrivé quelques secondes plus tard. — Tu m’as vu à ce moment-là ! s’exclama Noémie. — Oh oui ! Et tu prenais ton pied, accroupie au-dessus de lui, je n’aurais pas cru voir rentrer cette queue dans un cul. Noémie se sentit bizarre de savoir que quelqu’un avait observé sa sodomie. Elle continua tout de même son histoire. — J’ai joui une fois puis une deuxième parce que monsieur n’avait pas fini et puis il a enfin éjaculé en moi. Elles se regardèrent quelques secondes dans les yeux et une chaleur transita entre elles. — Demain il est à moi, dit Carline. — Je te le laisse de toute façon je ne vais rien pouvoir faire pendant quelques jours. — Et ton mec ? Il ne va pas apprécier. Elle secoua les épaules. — Il est parti avec une plus jeune. Carline la regarda et dit : — Le salaud...et c’est pour ça que tu as dit que ça faisait longtemps ! — Oui, au chômage il restait à la maison et a fini par rencontrer la factrice et est parti avec. — Le gros salaud ! Et pourquoi ne pas me l’avoir dit plutôt ? Noémie fit un signe de dénégation de la ...
... main. — Je ne sais pas trop, je ne voulais pas t’inquiéter pour des vétilles. Elles passèrent la fin de la nuit à discuter de choses très personnelles. Elles n’avaient jamais parlé ainsi à cœur ouvert, et se retrouvèrent avec une belle amitié sur les bras. Leurs paroles les amenèrent à discuter de Théo et de son empathie. — Tu sais, il a tout de suite compris que je n’allais pas bien, dit Noémie. Depuis que j’ai rompu, il n’a cessé de me caresser et de me complimenter si bien que je l’ai laissée me tripoter les fesses à plusieurs reprises. Elle regarda Carline dont le rouge monta aux joues. — Mais toi ! Toi, tu l’as laissé jouer avec tous le matos dès le premier coup. Elle secoua la tête avec un sourire goguenard. Carline prit la parole pour se défendre. — Il m’a surprise et je n’ai pas su quoi faire, dit-elle les sourcils arqués. J’ai à peine eu le temps de réfléchir que ses mains étaient sur mes seins à me titiller les tétons. Noémie rit franchement et dit d’un ton dégagé : — Et puisqu’il y était, autant le laisser te faire la totale. Carline hocha vigoureusement de la tête. La nuit passa, quelques alertes coupant de temps à autre leurs confidences.