Malentendu
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
Oral
pénétratio,
init,
mélo,
amourdram,
consoler,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... passer au sexe pour l’instant, il ne lui reste que….
Nicolas a compris les hésitations féminines. Il prend l’initiative, allonge doucement sa compagne sur le tapis, entreprend d’honorer de la bouche son intimité. Étonnée par son comportement, elle le laisse agir malgré sa répugnance instinctive, et bientôt, accepte d’être butinée. Passive, elle regarde, puis se détend. Mais la position des corps amène auprès de son visage le démon qu’elle a réveillé. Elle le prend en main, l’approche de ses lèvres, elle y dépose un baiser léger, le lèche doucement. Écartant le prépuce, elle libère la tête toute lisse. Sa bouche maintenant englobe cette partie, la langue en fait le tour. Sa tête descend le long de la tige. Se souvenant du mouvement alternatif qui a provoqué l’explosion, elle le reproduit. Ce travail occupe son esprit, mais elle sent lentement au bas de son corps une sensation nouvelle, inhabituelle. C’est intense, ses jambes s’écartent, elle appuie sur la tête qui lui procure ce plaisir. Simultanément elle s’active sur le sexe qu’elle suce.
Le plaisir mutuel monte, s’amplifie à un tel point que Nicolas s’arrache à ce paradis. Il pivote et vient baiser les lèvres féminines. Leurs sexes se trouvent en contact, la broche devant le pertuis. Pourtant aucun ne réalise l’ultime mouvement. Saisissant le poignet de Christine, Nicolas l’amène à prendre le sexe et à s’en servir comme d’un grattoir sur le clitoris. Cette manœuvre plaît à Christine qui l’exécute en fonction de ses ...
... envies. Le plaisir augmente pour les deux partenaires, elle crie en premier, se crispant sur le sexe masculin qui ne peut se retenir d’arroser le buisson.
Enlacés, épuisés, ils restent longtemps au sol. La télévision qu’ils ont oubliée dévide des performances sportives.
La fraîcheur les tire de leur assoupissement. Ils se relèvent lentement, heureux d’avoir récupéré tout le temps gâché. Ils se nettoient mutuellement, chacun œuvrant avec délicatesse sur le corps de l’autre.
Après le repas, sans qu’ils en aient parlé, Nicolas reste. Elle espère qu’ainsi le processus se poursuivra et que, peut-être, seront vaincues les peurs qui la paralysent.
Dans le lit ils reprennent le même schéma que l’après-midi, chacun bien décidé à réaliser leur union. Mais quand Nicolas, dominant sa compagne, présente son sexe face à la fente, il est bloqué par la peur d’une réaction négative. Il bascule de manière à ce que ce soit à elle de prendre la décision. Se redressant, jambes écartées, elle place la queue face à sa fente, lentement se laisse descendre. Elle n’est certes plus vierge, son conduit est lubrifié par son plaisir, mais elle s’embroche avec difficulté. Il fixe son visage, figé, des larmes coulent le long de ses joues. Il reste immobile, ne servant que de poinçon. Quand les pubis se touchent, elle reste immobile un moment, puis lentement entame le ballet de l’amour. Les premiers mouvements lui sont douloureux, mais le mal s’atténue, elle se sent toute fière d’avoir vaincue ses ...