1. DAMIEN VII


    Datte: 15/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds

    ... approchée de mon visage pour bien me la montrer.
    
    - L’allemande a adoré.
    
    J’ai supplié Mourad de ne pas le faire. Il a juste dit que si je préférais le bâton, il n’y voyait pas d’inconvénient et que de toute façon j’aurai droit au deux si je refuse.
    
    - Je vais être gentil, et te badigeonner le cul d’huile.
    
    Il l’a fait. Je ne pouvais plus voir la bouteille. Au début le goulot est passé puis il s’est bloqué. Je sentais mon cul s'élargir lentement au point de se déchirer. Mourad faisait coulisser la bouteille de plus en plus vite en forçant de plus en plus à chaque fois. Je criais et suppliais en vain mais je n’avais pas mal. Je tentais d’échapper au supplice en me tortillant, mais cela les faisaient encore plus rire. Puis, brusquement, quand j’ai cru que mon anus allait de déchirer, la bouteille s’est enfoncée seule comme un suppositoire. J’avais la voix rauque d’avoir trop crié de peur et un sentiment déroutant d’avoir un truc bloqué dans mon ventre.
    
    - Tu vois, c’est pas si difficile. Elle sortira pas avec cette forme. Tu vas la garder comme ça entre tes fesses.
    
    Je sentais entre mes fesses le cul de la bouteille. J’ai dû la garder et j’ai à nouveau fais le service. J’avais l’impression que la bouteille allait sortir à chacun de mes pas mais elle ne bougeait pas. Mon anus boursouflé me faisait mal. De plus en plus mal. Mais c’était supportable. Avec ma bitte camouflée, mes poils disparus et cette bouteille fichée entre mes fesses, je devais paraître vraiment ...
    ... pitoyable. Un esclave marqué.
    
    - C’est dommage que tu ne peux pas voir ton cul avec la bouteille au milieu.
    
    Je la sentais bien pourtant et j’avais du mal à marcher. Mes fesses restaient ouvertes autour de fonds de la bouteille.
    
    Quand ils m’en ont débarrassé, mon trou ne s’est pas refermé. Leurs bittes gonflées ont remplacé la bouteille. Je les sentais mais pas de douleur. Puis il m’ont demandé de me prosterner dos au capitaine. J’étais effaré qu’ils puissent ouvrir mon cul avec leur doigts. Je sentais mon anus dilaté.
    
    Cela a duré toute la nuit. Et à la fin, le capitaine est juste venu devant moi pour me pisser dans la bouche. J’ai tout avalé sans broncher.
    
    Sur ordre de Mourad je me suis moi-même enfoncé la bouteille dans le cul. Ils se sont couchés, et je me suis endormi comme une masse avec la bouteille de coca plantée dans mon cul.
    
    Le matin nous sommes revenus au port. Sur le chemin du retour, je les ai sucé les trois. Ils ne voulaient pas me débarrasser de la bouteille et je ne sentais plus mon anus complètement anesthésié.
    
    Moi aussi je suis reparti comme l’allemande, uniquement vêtu d’une djellaba. Mais moi, j’avais toujours la bouteille de coca fichée dans le cul et la bitte camouflée par le sparadrap.
    
    Ils m’avaient scotché les fesses autour de la bouteille pour qu’elle ne sorte pas. J’ai traversé toute la ville avec la bouteille dans le cul, nu sous le léger vêtement.
    
    Sylvie et Khaled étaient rentrés de leur périple. Nous les avons rejoints sur la ...
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